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Burkina Faso
Selon des sources officielles, 305 otages ont été libérés au Burkina Faso cette semaine. Ces otages, composés de femmes, d’enfants et de personnes âgées,…
Au Burkina Faso, la nouvelle équipe gouvernementale s’est réunie lundi 7 mars pour le premier conseil autour du président de la Transition.
Le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a désigné son Premier ministre. Un décret présidentiel a été publié jeudi. Le choix d’un technocrate laisse sceptiques observateurs et politiques. La composition du gouvernement répondra-t-elle aux attentes des Burkinabés ?
Les assises nationales sur la transition ont démarré lundi au Burkina Faso. Les propositions de la commission technique mise en place par la junte pour réfléchir sur la charte et l’agenda de la transition sont soumises à débat. La rencontre devra déboucher sur l’adoption de cette charte et la feuille de route de la transition.
Au Burkina Faso, la commission, mise en place début février pour plancher sur le projet de charte de la transition, a remis son rapport à la présidence, après deux semaines de travail. Elle proposerait une transition de trente mois avant l’organisation d’élections.
Dans le sillage du coup d’État du 24 janvier dernier, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba est désormais officiellement président du Burkina Faso. Il a été investi, mercredi 16 février, à Ouagadougou par le Conseil constitutionnel.
Le verdict est enfin tombé : 30 ans de prison ferme. Telle est la sentance infligée à Blaise Compaoré, ancien chef d’Etat burkinabè accusé d’être le principal commanditaire de l’assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara lors d’un coup d’Etat en 1987.
Au moment où Accra abritait un important sommet de la Cédéao sur la situation au Burkina Faso, le MPSR dirigé par le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba poursuit le processus engagé pour réformer les institutions. Mercredi, d’importants remaniements ont été faits à la tête des forces de sécurité.
Le Conseil de paix et sécurité de l’Union africaine a décidé de suspendre la participation du Burkina Faso en son sein en raison de la prise de pouvoir des militaires le 24 janvier. La Cédéao avait pris une mesure similaire le 28 janvier.
Après une journée de confusion, des militaires burkinabés ont fait, lundi au soir, une déclaration à la télévision nationale. Ils ont annoncé avoir mis fin aux pouvoirs du président Roch Marc Christian Kaboré ainsi que la suspension de l’Assemblée nationale et du gouvernement, la fermeture des frontières et la mise en place d’un couvre-feu de 21h à 5h du matin.
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