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Khartoum a attaqué les Émirats devant la CIJ à La Haye, les accusant de complicité de génocide à l’encontre de la communauté masalit, en…
Addis-Abeba assure, lundi 6 décembre, avoir repris les villes de Dessie et Kombolcha, deux agglomérations de plus de 200 000 habitants. Alors que les rebelles tigréens du TPLF se trouvaient à 180 km de la capitale Addis-Abeba, il y a dix jours, ils ont entamé un retrait vers la région du Tigré. Le parti tigréen du TPLF a qualifié ce retrait de « réajustement territorial ».
Au Soudan, la crise politique ouverte par le putsch du 25 octobre reste entière. Abdallah Hamdok a eu beau ordonner le limogeage du chef de la police et de son adjoint dimanche 28 novembre, cela n’a pas suffi à rétablir la confiance. Le peuple maintient la pression à travers les comités de résistance populaire. Et appelle l’armée à rentrer dans les casernes.
En dépit de l’accord passé par le Premier ministre civil Abdallah Hamdok avec le général Al-Burhan, les Soudanais battent toujours le pavé pour exprimer leur mécontentement. Des appels à manifester ont été lancés par l’ensemble de l’opposition, partis politiques et société civile. Le chef du gouvernement a demandé à la police de faire preuve de retenue mardi 30 novembre.
L’armée soudanaise a dénoncé une attaque menée par les forces éthiopiennes, dans la région disputée d’al-Fashaga, point de friction entre les deux pays, depuis de longues années. L’armée soudanaise précise, samedi, que cette attaque a fait plusieurs morts parmi ses soldats, sans en préciser le nombre.
Des dizaines de milliers de Soudanais ont manifesté jeudi contre le pouvoir militaire réclamant un véritable changement alors qu’un accord vient de réinstaller le Premier ministre civil tout en renforçant la mainmise de l’armée après son putsch du 25 octobre. La manifestation s’est déroulée dans le calme, quelques grenades lacrymogènes ont été tirées à Omdurman.
Au Soudan, après un accord très critiqué entre les militaires et le Premier ministre, Abdallah Hamdok, qui retrouve son poste, plusieurs ministres de son cabinet ont démissionné. La crise soudanaise est loin d’avoir dit son dernier mot.
En Éthiopie, les espoirs d’un cessez-le-feu s’éloignent malgré les nombreux efforts diplomatiques. La coalition de rebelles tigréens et oromos est désormais à moins de 200 kilomètres de la capitale, Addis-Abeba. Aby Ahmed, chef du gouvernement, annonce vouloir résister jusqu’à la victoire…
Au Soudan, Abdallah Hamdok, Premier ministre écarté lors d’un coup d’État militaire le 25 octobre, a été rétabli dans ses fonctions suite à un accord signé formellement dimanche avec le général Abdel Fattah al-Burhane, à Khartoum. Un développement qui n’a nullement affecté en quoi que ce soit la mobilisation des manifestants soudanais qui appellent à faire vivre l’esprit de la révolution qui a fait tomber le potentat Omar el Bachir.
Sanglante a été la journée du mercredi 17 novembre, au Soudan. L’armée a tiré sur les manifestants dans la banlieue nord de Khartoum en laissant sur le carreau pas moins de 15 morts. Le coup d’État militaire mené par le général al-Burhan prend un pli sanguinaire. En dépit de l’appel de Washington à remettre en place le pouvoir civil.
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