Tout porte à croire que la série de rencontres tenues par Mohamed Abdeljalil, ministre du Transport et de la Logistique, avec les syndicats des transporteurs, mercredi 23 février, pour l’évaluation des mesures à prendre pour faire face à la flambée des prix des carburants, n’ont pas été concluantes. La preuve, des syndicats menacent de recourir à la grève.

Ministères de la Santé et des Finances et syndicats représentatifs du secteur de la santé au Maroc sont tombés d’accords sur l’application de l’indice 509 (équivaux à un doctorat) avec toutes ses indemnités.

Le Chef de gouvernement a annoncé le lancement, ce jeudi, des rounds de dialogue social auquel sont conviées les centrales syndicales les plus représentatives et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).

Le syndical national du secteur des taxis, affilié à l’Union marocaine du travail (UMT) a exprimé, lundi, sa ferme condamnation des hausses de prix du carburant et des biens de consommation, en affirmant que ces hausses «ne correspondent pas au revenu quotidien du citoyen et au pouvoir d’achat».

Aziz Akhannouch, Chef du gouvernement, a tenu, mercredi 9 février, une réunion avec les représentants des centrales syndicales, dans le cadre de la série de rencontres consacrées à la situation épidémiologique dans le Royaume.

Les syndicats ont adressé des correspondances à la présidence du gouvernement appelant la reprise, sans tarder, du dialogue social. Le peu de cas affiché par l’Exécutif a poussé la Confédération démocratique du travail (CDT) à mobiliser ses troupes pour des sit-in dans différentes régions.

Après le PPS, le groupe de la Confédération démocratique du travail (CDT) à la Chambre des conseillers a déposé une proposition de loi visant à réglementer les prix des carburants au Maroc.

Khalid Ait Taleb, ministre de la Santé et de la Protection sociale, s’est réuni mercredi 15 décembre avec les deux secrétaires généraux de la Coordination syndicale composée de quatre syndicats, UNTM, UMT, CDT, FDT.

En recevant, mardi, les syndicats les plus représentatifs du secteur de l’enseignement, Chakib Benmoussa est resté ferme quant aux nouvelles conditions d’accès à la profession.