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Espionnage
Devant le juge, le binational a plaidé non coupable, après la phase des interrogatoires de la police, durant lesquels il a gardé le silence.…
En Inde, l’opposition est vent debout après de nouvelles révélations du quotidien The New York Times sur l’affaire Pegasus. Dans sa dernière enquête, le quotidien américain précise la date et les modalités d’acquisition du logiciel espion par le gouvernement de Narendra Modi auprès d’Israël.
Le quotidien israélien Haaretz a dévoilé une liste «complète des personnes ciblées par le logiciel espion Pegasus» du groupe israélien NSO. Le journal affirme jeudi avoir, «pour la première fois», rassemblé une liste de «cas confirmés impliquant le logiciel espion Pegasus».
L’affaire Pegasus qui a secoué le monde, impliquant aussi le Royaume dans son sillage, relève-t-elle du canular ? Pour Mohamed Dkhissi, directeur central de la police judiciaire à la Direction générale de la sécurité nationale, il n’y aurait pas de doute à se faire là-dessus. Evoquant un « complot », il plaide la non culpabilité du Royaume dont l’efficacité des services gênent aux entournures des rivaux.
Le logiciel espion Pegasus de la société israélienne NSO a été téléchargé sur le téléphone de l’épouse du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, des mois avant son assassinat, par un agent émirati, a révélé Washington Post.
Le président du groupe d’expert des Nations unies sur le Yémen a subi une tentative de cyber-intrusion ciblant son téléphone. D’après les médias réunis sous la bannière de Forbidden Stories, l’Arabe saoudite aurait tenté d’espionner le Tunisen Kamel Jendoubi à l’aide de Pegasus, logiciel espion développé et vendu par la société israélienne NSO.
Meta a expliqué avoir «mis hors d’état de nuire» des entreprises qui pratiquaient «la surveillance pour le compte d’autrui» sur les réseaux sociaux que possède le groupe. La majorité des structures en cause ont été géolocalisées en Israël.
Les téléphones d’au moins neuf employés du département d’État américain ont été piratés par le logiciel espion sophistiqué développé par le groupe israélien NSO, rapporte Reuters.
La lune de miel entre Paris et le Caire est parasitée par plusieurs affaires. La dernière en date, celle qui implique l’entreprise Nexa Technologies, mise en examen pour «complicité d’actes de tortures». La société est accusée d’avoir vendu au pouvoir égyptien du matériel de cybersurveillance qui lui aurait permis de traquer des opposants.
Pour le rapporteur spécial de l’ONU sur la torture, les derniers rebondissements juridiques autour de l’extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis n’augurent rien de bon pour le fondateur de Wikileaks.
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