Le mis en cause appelait les jeunes à « suivre rigoureusement les préceptes religieux, surtout lorsqu’ils se trouvent en dehors de la terre d’Islam ». Il a également « justifié certaines actions terroristes de Daech », ajoute la même source.
Malgré le rejet de la demande de naturalisation, la justice n’a pas répondu favorablement à la requête du ministère de l’Intérieur d’expulsion vers le Maroc, conformément à l’article 54 de la loi organique 4/2000, sur les droits et libertés des étrangers en Espagne et leur intégration sociale. Dans son alinéa 1, le texte définit comme « infractions très graves » toute participation « à des activités contraires à la sécurité nationale ou susceptibles de nuire aux relations de l’Espagne avec d’autres pays, ou être impliqué dans des activités contraires à l’ordre public considérées comme très graves par la loi organique 1/1992 du 21 février de protection de la sécurité publique».