José Manuel Albares s’est félicité qu’« avec le Maroc, nous avons des intérêts imbriqués de premier niveau, nous partageons une frontière terrestre » ; une allusion à Sebta et Melilla. Et de préciser, dans un message adressé aux oppositions de droite et d’extrême droite inquiètes du retard dans l’ouverture des douanes commerciales au niveau des Présides occupés, que « la diplomatie est plus un art qu’une science et il n’y existe pas de lois mathématiques ».
Dans ses déclarations consacrées aux grands axes de la politique étrangère de son pays, le chef de la diplomatie espagnole a évité de mentionner les différends avec l’Algérie. La semaine dernière, le gouvernement algérien avait annulé la visite que prévoyait d’effectuer J.M. Albares, le 12 février à Alger.