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« Le nombre de journalistes tués s’est élevé à 169 journalistes, hommes et femmes, depuis le…
La Fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ) a réitéré, lundi, son attachement à la nécessité d’« œuvrer, dans les plus brefs délais » à mettre fin à la phase provisoire de la gestion du secteur de la presse, en donnant aux professionnels « la possibilité d’élire les membres de l’institution d’autorégulation, conformément à la loi » et à l’esprit de la Constitution, dans son article 28.
A l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée ce mercredi, Amnesty International a indiqué que quatre journalistes et deux universitaires détenus dans des prisons marocaines sont privés du droit de lire et d’écrire.
L’Organisation démocratique de la presse et des médias, affiliée à l’Organisation démocratique du travail (ODT), a indiqué que la Journée mondiale du travail, célébrée annuellement le 1er mai à travers le monde, intervenait cette année dans un contexte difficile que traverse le secteur.
Clivante, la solution envisagée par le gouvernement pour réguler le secteur de la presse, l’est à plus d’un titre. Si le blocage du renouvellement du Conseil National de la Presse renvoie à une situation rentière, il n’en reste pas moins que le processus de déblocage, envisagé par l’Exécutif, est entaché, lui, d’irrégularités flagrantes en terme ne serait-ce que du respect des prescriptions de la loi fondamentales du pays. La profession qui se meurt est plus divisée que jamais autour du devenir d’un organe de régulation. Triste tableau que celui que résume cette guerre des égos qui occulte le véritable enjeu lié, lui, au sort d’un métier gangréné par des nuées de parasites.
Les journalistes mauritaniens ont réagi au communiqué produit quelques jours plus tôt par l’ambassade de l’Algérie à Nouakchott et qui accuse des médias mauritaniens d’être à la « solde d’un Etat ennemi ». Ils ont critiqué, des tentatives visant à leur « imposer une tutelle ».
Les services algériens ont procédé à l’arrestation de seize personnes appartenant à un présumé « réseau criminel visant à attenter aux institutions ». Ces personnes collaboreraient, assure-t-on, avec le site internet « Algérie Part » dirigé par Abdou Semmar, journaliste exilé en France, depuis 2019.
D’après le dernier bilan de Reporters Sans Frontières publié vendredi, 1 668 journalistes ont été tués dans le monde depuis 2003, soit 80 ans par an en moyenne. Parmi les zones les plus dangereuses pour la profession, l’Irak et la Syrie.
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