En kiosque

Stress hydrique
Les ressources hydriques globales du Royaume ont connu une progression de 28,7 % par rapport à mai 2024, soit une hausse de 1.504,6 millions…
Le tribunal de première instance de Figuig a condamné, lundi 19 février, des membres du mouvement protestataire opposé à la cessation de la distribution d’eau potable par la municipalité. Mohamed Ibrahimi (dit Mofo) a écopé de trois mois de prison, assortie d’une amende de 1 000 DH.
Le Maroc est entré, désormais, dans une situation de stress hydrique structurel, a affirmé, mercredi à Rabat, le président du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE), Ahmed Réda Chami, à l’occasion d’une rencontre organisée à l’initiative du Club des journalistes accrédités au Maroc (CJAM).
L’Association pour la Taxation des Transactions et pour l’action citoyenne au Maroc (ATTAC Maroc) lance un cri d’alarme face à la crise de l’eau au Maroc. La sécheresse qui sévit pour la sixième saison consécutive affecte gravement le secteur agricole en particulier et le pays en général.
Le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, a exposé, mercredi à Rabat, les grandes lignes du plan d’action d’urgence des systèmes hydrauliques, présenté lors de la séance de travail présidée par le Roi le Souverain le 16 janvier, consacrée à la problématique de l’eau.
D’ici la fin du siècle, les deux tiers de la population mondiale pourraient être confrontés aux changements de cycle des précipitations, comme conséquence des dérèglements climatiques en cours, révèle une étude de « Nature Communications » dévoilé en janvier.
La capacité des barrages s’est renforcée depuis le mois de septembre et jusqu’à présent, avec des importations supplémentaires ayant atteint un total de 646 millions de mètres cubes, a affirmé lundi à la Chambre des représentants, Nizar Baraka, ministre de l’Équipement et de l’Eau.
Et de deux ! Le roi Mohammed VI a présidé, mardi, une séance de travail consacrée à la problématique de l’eau, indique le cabinet royal dans un communiqué. Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, a présenté un exposé sur la situation hydrique, qui fait ressortir, pour la période de septembre à mi-janvier 2024, un déficit pluviométrique de 70% par rapport à la moyenne, ainsi qu’un taux de remplissage des barrages de 23,2% contre 31,5% à la même période de l’année dernière.
La situation hydrique au Maroc est alarmante. Le remplissage des bassins hydrauliques a connu une baisse de 67%, affectant l’ensemble des infrastructures hydrauliques, annonce Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau. Le responsable s’est contenté d’établir un constat. Sans pour autant proposer d’alternatives durables. Il est peut-être temps de sonder l’alternative des « déchets des phosphates » pour reverdir le pays. Voilà un chantier à inaugurer pour conjurer le mauvais sort de la désertification avancée. Terraformer le pays n’est plus un luxe !
Les mesures prises par le gouvernement ont limité l’impact de la situation hydrique « difficile » à cause de la succession des vagues de sècheresse ayant touché les réserves des barrages, a affirmé, Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’eau, jeudi à Rabat.
Actu. à la une
Notre Sélection
Subscribe to News
Get the latest sports news from NewsSite about world, sports and politics.

Maroc
Services
Subscribe to Updates
Get the latest creative news from FooBar about art, design and business.