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Stress hydrique
Cette levée de fonds, structurée et placée par CDG Capital, a été réalisée auprès d’investisseurs institutionnels qualifiés afin de soutenir l’expansion des capacités de…
Le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, a exposé, mercredi à Rabat, les grandes lignes du plan d’action d’urgence des systèmes hydrauliques, présenté lors de la séance de travail présidée par le Roi le Souverain le 16 janvier, consacrée à la problématique de l’eau.
D’ici la fin du siècle, les deux tiers de la population mondiale pourraient être confrontés aux changements de cycle des précipitations, comme conséquence des dérèglements climatiques en cours, révèle une étude de « Nature Communications » dévoilé en janvier.
La capacité des barrages s’est renforcée depuis le mois de septembre et jusqu’à présent, avec des importations supplémentaires ayant atteint un total de 646 millions de mètres cubes, a affirmé lundi à la Chambre des représentants, Nizar Baraka, ministre de l’Équipement et de l’Eau.
Et de deux ! Le roi Mohammed VI a présidé, mardi, une séance de travail consacrée à la problématique de l’eau, indique le cabinet royal dans un communiqué. Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, a présenté un exposé sur la situation hydrique, qui fait ressortir, pour la période de septembre à mi-janvier 2024, un déficit pluviométrique de 70% par rapport à la moyenne, ainsi qu’un taux de remplissage des barrages de 23,2% contre 31,5% à la même période de l’année dernière.
La situation hydrique au Maroc est alarmante. Le remplissage des bassins hydrauliques a connu une baisse de 67%, affectant l’ensemble des infrastructures hydrauliques, annonce Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau. Le responsable s’est contenté d’établir un constat. Sans pour autant proposer d’alternatives durables. Il est peut-être temps de sonder l’alternative des « déchets des phosphates » pour reverdir le pays. Voilà un chantier à inaugurer pour conjurer le mauvais sort de la désertification avancée. Terraformer le pays n’est plus un luxe !
Les mesures prises par le gouvernement ont limité l’impact de la situation hydrique « difficile » à cause de la succession des vagues de sècheresse ayant touché les réserves des barrages, a affirmé, Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’eau, jeudi à Rabat.
Le ministre de l’Equipement et de l’eau a présenté en ce début de semaine à Dubaï, la stratégie intégrée du Maroc pour faire face à la pénurie d’eau consécutive à la succession des années de sécheresse et son impact sur la mobilisation des eaux potables et d’irrigation.
La première phase de l’autoroute de l’eau a permis l’opérationnalisation, lundi 28 août 2023, de l’axe entre Kénitra et Rabat. Projet 100% marocain en termes de compétences, de main-d’œuvre, d’ingénierie et d’études, cet ouvrage permet de récupérer l’excédent des eaux de l’oued Sebou, habituellement déversées dans l’Atlantique, pour approvisionner le Bouregreg en passant par Rabat. Mais pas que… Reste à évaluer les retombées d’un tel projet sur le milieu ambiant.
La canicule qui sévit dans le pays, avec des pics jamais atteints, agit dramatiquement sur les réserves hydriques des barrages. La diminution du niveau des eaux est des plus alarmantes.
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