Royaume-Uni

L’ex-Premier ministre britannique a mis en garde les nations occidentales contre leur déclin, dont « la domination politique et économique touche à sa fin », estimant que la principale concurrence leur vient de la Chine qu’il considère la « deuxième superpuissance du monde », contre laquelle il faut se rassembler pour contrer sa montée.

Le Premier ministre britannique a annoncé jeudi sa démission du Parti conservateur mais indiqué qu’il resterait au pouvoir jusqu’à ce que soit désigné son successeur. Trois ans après son accession à Downing Street, Boris Johnson, 58 ans, s’est trouvé poussé vers la sortie par une avalanche de démissions au sein de son gouvernement après une série de scandales.

Alors que les chemins de fer sont paralysés en Grande Bretagne par une grève générale, les principales centrales syndicales belges ont organisé une journée d’action lundi 20 juin dans la capitale pour réclamer une hausse du pouvoir d’achat, grignoté par l’inflation. Elles craignent aussi une remise en cause de l’indexation des salaires.

La Mission des Nations unies pour l’organisation du référendum au Sahara occidental (MINURSO) sera au menu du Conseil de sécurité. Le Royaume-Uni, qui préside en ce mois l’instance exécutive de l’ONU, a programmé pour le 20 avril une réunion consacrée à l’examen de la mission onusienne.

Martin Elliot Sampson, maréchal de l’air et haut conseiller britannique à la Défense pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, a été reçu, lundi à Rabat, par Abdeltif Loudyi, ministre délégué auprès du Chef du gouvernement, chargé de l’Administration de la défense nationale, puis par Belkhir El Farouk, général de corps d’armée, inspecteur général des Forces armées royales (FAR) et commandant la Zone Sud, au siège de l’État-major général des FAR.