OTAN

Le président russe a déclaré vendredi 21 juin que son pays était disposé à discuter sur la sécurité de l’Eurasie, même avec l’OTAN. Vladimir Poutine a récemment annoncé, à l’occasion de sa visite d’État en Corée du Nord, sa volonté de construire une sécurité « égale et indivisible » sur le continent eurasien. Pour l’heure, pas de réaction… Si ce n’est l’afflux massif d’armes vers l’Ukraine.

Le Premier ministre hongrois a déclaré vendredi 24 mai qu’au vu de leurs déclarations les dirigeants occidentaux préparaient l’opinion à la guerre contre la Russie. Budapest fait partie du bloc militaire dirigé par Washington, mais compte s’en tenir aux traités et ne veut pas s’impliquer dans des actions militaires à l’extérieur des frontières de l’OTAN.