Liban

Et Michel Aoun, président libanais, a exclu en outre la tenue des élections législatives au Liban le mois de mars. Répondant aux questions du quotidien libanais al-Akhbar, il a assuré qu’il n’est pas question pour lui d’assiéger le Hezbollah et relevé que les relations avec l’Arabie saoudite devraient être « institutionnalisées ».

Amos Hochstein, médiateur américain entre Israël et le Liban dans les négociations sur la démarcation des frontières maritimes, a assuré dimanche lors de ses entretiens en Israël que si un accord n’est pas conclu avant les élections au Liban, qui se tiendront après quelques mois, il se retirera de l’affaire.

Riyad a décidé d’expulser d’ici 48 heures Fawzi Kabbara, ambassadeur du Liban en Arabie, et de rappeler Walid Boukhari son ambassadeur au Liban. Raison invoquée : les propos «offensantes et inacceptables» tenus le 5 août dernier, par Georges Qordahi, ministre de l’information alors que le gouvernement Mikati n’était pas encore constitué. Dans la foulée, Manama a suivi le mouvement avant d’être rattrapée par Koweït.