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Liban
« Une patrouille de la FINUL est entrée dans la zone de Wa’r al- Jmaijmeh pour la seconde fois, sans la présence de l’armée…
Abdallah Bou Habib, ministre libanais des Affaires étrangères, est attendu lundi 22 novembre à Moscou pour rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov. A cette occasion, Moscou honorera l’engagement pris par le maitre du Kremlin de mettre à la disposition des Libanais les images satellite lors de l’explosion du port de Beyrouth.
Et Michel Aoun, président libanais, a exclu en outre la tenue des élections législatives au Liban le mois de mars. Répondant aux questions du quotidien libanais al-Akhbar, il a assuré qu’il n’est pas question pour lui d’assiéger le Hezbollah et relevé que les relations avec l’Arabie saoudite devraient être « institutionnalisées ».
Des responsables israéliens ont demandé, mardi 16 novembre, à l’ambassadrice américaine aux Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, de conditionner toute aide américaine au Liban à des restrictions imposées au Hezbollah.
Le prince Faisal bin Farhan, ministre saoudien des Affaires étrangères a déclaré que, pour le moment, le royaume wahhabite n’avait pas l’intention de traiter avec le gouvernement libanais.
Amos Hochstein, médiateur américain entre Israël et le Liban dans les négociations sur la démarcation des frontières maritimes, a assuré dimanche lors de ses entretiens en Israël que si un accord n’est pas conclu avant les élections au Liban, qui se tiendront après quelques mois, il se retirera de l’affaire.
Abdallah Bou Habib, ministre libanais des Affaires étrangères, a déclaré le mardi 2 novembre que « l’Arabie saoudite impose des conditions impossibles en demandant au gouvernement de limiter le rôle du Hezbollah ».
Le Liban n’est certes pas à une première crise diplomatique près avec l’Arabie saoudite. Mais le climat dans lequel la récente tension s’inscrit laisse les observateurs pantois : jamais le pays du Cèdre n’a été confronté à une crise économique aussi difficile.
Riyad a décidé d’expulser d’ici 48 heures Fawzi Kabbara, ambassadeur du Liban en Arabie, et de rappeler Walid Boukhari son ambassadeur au Liban. Raison invoquée : les propos «offensantes et inacceptables» tenus le 5 août dernier, par Georges Qordahi, ministre de l’information alors que le gouvernement Mikati n’était pas encore constitué. Dans la foulée, Manama a suivi le mouvement avant d’être rattrapée par Koweït.
Samir Geagea chef de file du parti des Forces libanaises s’est abstenu de comparaître à son audition prévue mercredi 27 octobre devant la justice militaire au sujet des violences du 14 octobre à Beyrouth au cours desquels 6 hommes et une femme ont été tués.
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