Dans le Royaume hachémite, la normalisation forcée avec Israël ne passe pas, en dépit de l’accord de paix de Wadi Araba, conclu dans la foulée de Camp David. Ainsi, plusieurs organisations jordaniennes sont vent debout contre un nouvel accord jordano-israélien : eau contre énergie. Les Emirats arabes unis jouent les courtiers dans cette histoire.

Après des années de tensions entre la Turquie et les Émirats arabes unis, le prince héritier Mohammed ben Zayed a été reçu à Ankara mercredi par le président turc Recep Tayyip Erdogan. Cette visite – la première en dix ans – a officialisé le réchauffement des relations entre les deux pays, même s’il a surtout été question de coopération économique.

Les Emirats cherchent à développer des « capacités nationales » pour leur industrie de défense en vue d’atténuer leur dépendance vis-à-vis des importations d’armements, explique à l’AFP un responsable du consortium émitari de défense Edge. Drones, missiles guidés et simulateurs sont ainsi convoités par Abou Dhabi.

Le général Ahmed Naser Al-Raisi tient la corde pour devenir le nouveau président de l’organisation policière internationale. Il est pourtant soupçonné d’avoir fait torturer des opposants politiques. Le silence français sur la question fait tache.

Les provinces du Sud du Royaume regorgent d’énormes opportunités d’investissement qu’il faut saisir, a affirmé, mardi à Abu Dhabi, Jamal Seïf Al-Jarwan, secrétaire général du Conseil international des investisseurs des Émirats Arabes Unis.

Les Émirats arabes unis et Bahreïn mènent leurs premières manœuvres navales conjointes avec Israël, un an après la normalisation des relations des deux pays arabes du Golfe avec l’État hébreu, a indiqué, jeudi 11 novembre, l’US Navy.

Le président Bachar al-Assad a reçu Abdallah Ben Zayed Al-Nahyan, ministre émirati des Affaires étrangères, a rapporté l’agence syrienne officielle Sana. C’est la première visite d’un responsable émirati en Syrie depuis dix ans.

Entre l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, la compétition s‘intensifie. Pour toucher aussi le volet économique. Avec l‘annonce de 44 multinationales, dont les groupes Siemens ou encore Unilever, d‘installer leur siège régional dans la capitale saoudienne, Riyad accentue peu à peu la pression sur le voisin Dubaï.

La Tunisie est en discussion avec les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite pour renflouer les caisses de l’État qui se tarissent sous l’impact d’une double crise économique et politique, selon un responsable de la Banque centrale, cité par des médias locaux.