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Corée du Nord
À l’issue de cette rencontre, un engagement fort a été annoncé. Kim Jong-Un a décidé de déployer en Russie 1 000 sapeurs nord-coréens pour…
Le Japon menace d’abattre un missile nord-coréen. C’est le ministère de la Défense nippon qui l’assure après que Pyongyang a notifié qu’une mise en orbite d’un satellite de reconnaissance aurait lieu entre le 31 mai et le 11 juin. Tokyo estime que le lancement de la fusée pourrait mettre en danger son intégrité territoriale. La Corée du Sud a, de son côté, envoyé un avertissement au voisin nord-coréen en promettant des conséquences en cas de mise en orbite du satellite espion.
La Corée du Nord a tiré, jeudi 13 avril, un « nouveau type » de missile balistique, possiblement à combustible solide selon l’armée sud-coréenne, ce qui marquerait une avancée technologique et stratégique majeure pour le programme d’armement de Pyongyang. Voilà qui remet en question ce à quoi est allé le Pentagone qui assurait, dans les récentes fuites, que la capacité balistique de ce pays était inopérante.
Kim Jong-un a demandé à ses troupes d’accroître la production de « matériel nucléaire militaire » et de se préparer à en faire usage « n’importe où et n’importe quand » alors que les Etats-Unis et la Corée du Sud ont mené des exercices dans la région.
Selon les médias d’État nord-coréens, le nouveau drone mis au banc d’essai aurait pour ambition de créer un « tsunami radioactif » en mesure de détruire ports et navires ennemis. Une annonce qui laisse certains experts sceptiques et qui intervient un jour après que les États-Unis et la Corée du Sud ont mis fin à leurs plus grandes manœuvres militaires conjointes en cinq ans.
Les démonstrations de force s’enchaînent depuis plus d’une semaine des deux côtés du 38e parallèle. Lundi, la Corée du Nord assure que son tir de missile de dimanche était une « simulation d’attaque nucléaire, sur une cible ennemie majeure ». Test réalisé en présence de Kim Jong-un et de sa fille en réponse directe aux exercices conjoints des armées sud-coréennes et américaines. Pyongyang a dénoncé ce qu’il perçoit comme la répétition d’une invasion de son territoire.
La Corée du Nord a tiré, mardi, deux missiles balistiques de courte portée « qui ont volé sur une distance d’environ 620 kilomètres », a annoncé Séoul au lendemain du coup d’envoi des plus importantes manœuvres conjointes avec les États-Unis depuis cinq ans.
A la veille de « grandes manœuvres » entre Séoul et Washington : Pyongyang tire la sonnette d’alarme
Kim Jong Un, dirigeant nord-coréen, a ordonné à son armée d’intensifier ses manœuvres militaires en vue d’une « guerre réelle », lors d’un exercice de tirs de missiles auquel a assisté sa fille, a rapporté vendredi l’agence coréenne KCNA.
Pyongyang a averti que l’interception de ses missiles tirés au-dessus du Pacifique pour des essais sera considéré comme une « déclaration de guerre ». Cette annonce intervient à l’heure où des exercices conjoints américains et sud-coréens prennent de l’ampleur.
La Corée du Nord a effectué quatre tests de tirs de missiles de croisière dans la mer, a annoncé vendredi l’agence officielle nord-coréenne KCNA. L’exercice démontrait «la posture de guerre » de la force nucléaire de Pyongyang, affirme-t-on.
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