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Corée du Nord
Pyongyang a exprimé cette position dans un commentaire publié par l’Agence de presse centrale coréenne (KCNA), précisant que sa force nucléaire n’est pas destinée…
Yoon Suk-yeol, président sud-coréen, a dénoncé mercredi le rapprochement entre la Russie et la Corée du Nord. Il a assuré, dans son discours à l’Assemblée générale des Nations unies, qu’une éventuelle aide militaire serait une provocation envers son pays.
La Corée du Nord a annoncé vendredi avoir construit un « sous-marin nucléaire tactique d’attaque » dans le cadre de ses efforts pour renforcer sa force navale, a indiqué l’agence de presse d’État KCNA.
La Corée du Nord a tiré deux missiles balistiques et effectué, mercredi 30 août, la simulation de frappe nucléaire sur la Corée du Sud. C’est la réponse offensive de Pyongyang aux onze jours d’exercices militaires de Séoul et Washington qui se terminent jeudi 31 août.
Kang Son Nam, ministre nord-coréen de la Défense, a mis en garde contre « le déclenchement d’une guerre nucléaire dans la péninsule coréenne qui n’est qu’une question de temps », notant que « la question est désormais de savoir qui la déclenchera et quand ».
L’accompagnant entre d’énormes missiles balistiques intercontinentaux et de nouveaux drones militaires, Kim Jong Un a présenté à Sergueï Choïgou, ministre russe de la Défense, les armes les plus avancées de la Corée du Nord, selon les médias d’État.
Les deux Corées commémorent le 70ᵉ anniversaire de l’armistice de la guerre de Corée en 1953. Au Nord, Pyongyang célèbre cet anniversaire en la compagnie de deux invités étrangers, un représentant chinois et Sergueï Choïgou, ministre de la Défense russe. C’est la première fois que des officiels étrangers viennent en visite depuis 2020.
La Corée du Nord a menacé lundi d’abattre des avions de reconnaissance US. Pyongyang affirme que des avions espions de Washington ont pénétré à plusieurs reprises son espace aérien sur une douzaine de kilomètres. Une opération que l’armée américaine dément.
Le Japon menace d’abattre un missile nord-coréen. C’est le ministère de la Défense nippon qui l’assure après que Pyongyang a notifié qu’une mise en orbite d’un satellite de reconnaissance aurait lieu entre le 31 mai et le 11 juin. Tokyo estime que le lancement de la fusée pourrait mettre en danger son intégrité territoriale. La Corée du Sud a, de son côté, envoyé un avertissement au voisin nord-coréen en promettant des conséquences en cas de mise en orbite du satellite espion.
La Corée du Nord a tiré, jeudi 13 avril, un « nouveau type » de missile balistique, possiblement à combustible solide selon l’armée sud-coréenne, ce qui marquerait une avancée technologique et stratégique majeure pour le programme d’armement de Pyongyang. Voilà qui remet en question ce à quoi est allé le Pentagone qui assurait, dans les récentes fuites, que la capacité balistique de ce pays était inopérante.
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