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Les manœuvres « Freedom Shield » lancés : Pyongyang sur le qui-vive !

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Les démonstrations de force s’enchaînent depuis plus d’une semaine des deux côtés du 38e parallèle. Lundi, la Corée du Nord assure que son tir de missile de dimanche était une « simulation d’attaque nucléaire, sur une cible ennemie majeure ». Test réalisé en présence de Kim Jong-un et de sa fille en réponse directe aux exercices conjoints des armées sud-coréennes et américaines. Pyongyang a dénoncé ce qu’il perçoit comme la répétition d’une invasion de son territoire.
Les manœuvres « Freedom Shield » lancés

Chaque jour ou presque, Pyongyang a montré son hostilité à Freedom Shield, les exercices conjoints des États-Unis et de la Corée du Sud. Des tirs de missiles de croisière depuis un sous-marin, deux missiles de courte portée, le lancement d’un Hwasong 17, missile en théorie en mesure de frapper tout le territoire américain, et enfin ce que Kim Jong-un a appelé une simulation de « contre-attaque nucléaire ».

Moins impressionnant qu’un missile intercontinental, le projectile balistique testé dimanche n’est pas moins inquiétant, car il est le plus à même à être utilisé en cas de conflit sur la péninsule coréenne. Selon les médias d’État, il possédait une fausse charge nucléaire et aurait explosé 800 mètres au-dessus de sa cible.

Autre annonce : 1,4 million de Nord-Coréens se seraient portés volontaires pour rejoindre l’armée afin de se battre contre Séoul et Washington. Des démonstrations de force en miroir de celles qui se déroulent de l’autre côté de la frontière.

Le leader nord-coréen Kim Jong-un a dirigé des exercices militaires simulant une contre-attaque nucléaire contre les forces de Séoul et Washington, a rapporté lundi le média d’Etat KCNA. Ces manœuvres répondent à la coopération militaire croissante entre la Corée du Sud et les Etats-Unis. 

Parmi les exercices, les habituels essais de missiles à courte portée mais également des tirs provenant de silos enterrés, permettant de fait d’améliorer la précision et la rapidité des tirs. L’agence nord-coréenne a précisé que les manœuvres des 18 et 19 mars renforçaient la « dissuasion guerrière et la capacité de contre-attaque nucléaire » du pays contre Washington et Séoul, qui tentent de « déclencher une guerre ».  Pour la première fois depuis cinq ans, les exercices amphibies entre les armées sud-coréennes et américaines, ont démarré lundi. Des simulations de débarquement sur une côte hostile qui vont durer deux semaines, et pourraient de nouveau provoquer la colère de Pyongyang.

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