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Plus d’un an et demi après le séisme cataclysmique qui a ravagé la région d’Al Haouz, la colère gronde encore chez les sinistrés. Réunis…
Réélu avec un score sans appel (1.058 voix pour, 77 contre et 109 votes annulés), D. Lachgar a promis de « tourner la page du passé et d’œuvrer à une renaissance ittihadie ». Difficile processus face au retrait de la course des têtes d’affiche, tels Abdelkrim Benatiq et Hasnaa Abou Zaid, chacun bataillant de son côté pour revivifier le foyer Ittihadi.
Pas de surprise à l’occasion du 11e congrès de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) organisé à Bouznika. Les Ittihadis ont approuvé les amendements apportés par le Conseil national au règlement intérieur du parti, permettant ainsi à Driss Lachgar, actuel premier secrétaire de l’USFP, de rempiler pour un 3e mandat.
Les camarades de Mustapha Brahma se sont vu refuser la demande soumise aux autorités locales portant sur l’autorisation de l’organisation du 5è Congrès de cette formation politique de gauche à la salle Mohammed VI, à Casablanca.
Les magistrats croient voir plus clair dans les comptes des formations politiques qui bénéficient de deniers publics. La transparence semble faire son chemin quand bien même des partis traineraient encore des pieds.
Tout en représentant un attelage central dans la troïka qui tire la majorité aux affaires, l’Istiqlal affiche d’autres ambitions socio-économiques pour le pays. C’est ce qui se conçoit via la lecture des recommandations de l’Alliance des économistes istiqlaliens (AEM) au sujet du Projet de Loi des Finances 2022.
Les trois formations de la majorité gouvernementale ont salué les performances exceptionnelles du gouvernement et l’harmonie entre ses composantes, qui ont permis de «gagner du temps pour établir le cadre institutionnel imposé par les exigences constitutionnelles et les normes démocratiques ».
Les trois formations de la majorité gouvernementale ont salué les performances exceptionnelles du gouvernement et l’harmonie entre ses composantes, qui ont permis de «gagner du temps pour établir le cadre institutionnel imposé par les exigences constitutionnelles et les normes démocratiques ».
Au PJD, un Benkirane suffit. Mais quand il est question de deux Benkirane, et l’affaire a trait à la propulsion de la fille du nouveau S.G de la formation islamiste à la direction du parti, la pilule passe difficilement. Des déçus ont préféré tourner le dos au PJD alors que d’autres s’accommodent des choix actuels, tout en les critiquant.
Abdelilah Benkirane porté, de nouveau, à la tête du PJD, a reçu un message royal de félicitations. L’ancien chef de gouvernement qui a choisi de se mettre à la touche avant que les démons de la politique ne le ré-habitent, est appelé par ses frères pour redonner vie à la formation islamiste en déperdition électorale et politique.
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