Les États-Unis ont dénoncé, jeudi, l’opération de « communication » du Hezbollah qui a acheminé au Liban du pétrole iranien en vue d’alléger les nombreuses pénuries dont souffrent les Libanais, et ce en brisant les sanctions US.

Hossein Amir Abdellahian, ministre iranien des Affaires étrangères, a affirmé lors de sa visite officielle au Liban que « les entreprises iraniennes sont prêtes à construire deux centrales électriques pour le Liban en 18 mois seulement »…

L’Autorité Nationale de Régulation de l’Électricité (ANRE) et la Commission nigériane de la régulation de l’électricité (NERC) ont établi les bases d’un accord de coopération dans le cadre de leurs missions de régulation du secteur électrique.

Un autre tanker iranien de carburant iranien destiné au Liban est arrivé mercredi 6 octobre au port syrien de Banias, a rapporté sur Twitter la société Tanker Trackers.

L’Espagne a été rassurée sur son approvisionnement en gaz naturel algérien. En déplacement en Algérie, José Manuel Albares, ministre espagnol des Affaires étrangères, de l’union européenne et de la Coopération, a déclaré jeudi avoir reçu«des garanties» de la part des autorités algériennes pour l’approvisionnement de l’Espagne en gaz.

José Manuel Albares, ministre des Affaires étrangères espagnol, est attendu à Alger, jeudi 30 septembre. C’est la garantie de l’approvisionnement du marché ibérique en gaz algérien qui motive, en premier, ce déplacement. Alger avait décidé, fin août dernier, d’abandonner le gazoduc Maghreb-Europe (GME) qui transite par le Maroc au profit de Medgas qui dessert directement l’Espagne.

Les exportations de pétrole en provenance du Soudan du Sud, bloquées depuis samedi, vont pouvoir reprendre. Un accord a été trouvé, dimanche 26 septembre 2021 au soir, à l’issue d’une rencontre entre les manifestants et une délégation d’officiels venus de Khartoum.

Cheikh Naim Qassem, secrétaire général adjoint du Hezbollah, a averti entreprises libanaises et Banque du Liban que si elles n’agissent pas pour garantir les besoins du pays en carburant, le Hezbollah continuera d’importer des produits pétroliers.

Après Ma’rib, Shebwa, Al-Mahra, Hadramout, le mouvement yéménite des Ansarullah a un projet énergétique qui consisterait à reprendre le contrôle des provinces pétrolières qui, selon les estimations, renferment plus de 43 milliards de barils non exploités.