« L’opération a été menée avec un drone et a réussi à atteindre sa cible », a assuré le général de brigade dans un communiqué notant que « l’opération s’inscrit dans la cinquième étape de soutien à la résistance palestinienne ».
Le général a réaffirmé que « les forces armées sont prêtes à faire face à toute agression israélienne contre notre pays par des opérations militaires plus qualitatives », soulignant que « leurs opérations de soutien au peuple palestinien ne s’arrêteront pas tant que l’agression et le siège de la bande de Gaza ne cesseront pas ».
Pour sa part, Doron Kadosh, correspondant militaire de Radio israélienne, a souligné que « l’enquête préliminaire sur l’incident du drone qui a frappé le bâtiment de la colonie de Yavneh indique que le drone a été lancé depuis le Yémen et est entré dans le pays par la mer dans la région d’Ashdod ».
Il a ajouté que « dès le début, l’incident a été détecté par les systèmes de de défense aérienne. L’armée a fait appel à un chasseur, qui n’a pas eu le temps de l’intercepter en raison de la perte de contact avec le drone ». Il a noté que « l’armée de l’air ne savait pas comment calculer la trajectoire de vol approximative du drone et qu’aucun avertissement n’a donc été activé. L’accident fait l’objet d’une enquête ».
Des sources israéliennes ont rapporté « qu’un grand incendie s’est déclaré dans un bâtiment après avoir entendu le bruit d’une grande explosion qui a retenti le sud de la Palestine occupée, sans activer les sirènes ». Les médias israéliens ont souligné que « l’occupation a tenté d’éteindre l’incendie qui a pris feu dans le bâtiment après qu’il a été crucifié par un drone de la résistance à Yavneh, dans le sud de la Palestine occupée », qualifiant « l’événement d’inhabituel ».
