Comme il fallait s’y attendre, la diplomatie sud-africaine persiste dans son appui au chimérique projet sécessionniste du Polisario. En gardant la main sur ce département régalien, le Congrès National Africain (ANC) fixe les grandes orientations de la diplomatie. Devant la Chambre des représentants, Ronald Lamola, nouveau ministre des Affaires étrangères, n’a pas dérogé à la règle en réaffirmant, jeudi 11 juillet, le soutien de son pays aux séparatistes.

La république de Guinée a exprimé son soutien à l’initiative marocaine d’autonomie, mercredi 19 juin 2024 à New York (Etats-Unis) et qui voit cette initiative en tant que « solution de compromis » pour résoudre le différend régional autour du Sahara.

Répliquant au tissu de mensonges proférés par Amar Benjama, ambassadeur algérien à l’ONU, lors des travaux du C24, Omar Hilale, ambassadeur, représentant permanent du Maroc à l’ONU, a pris à témoin les Nations Unies, la communauté internationale et le peuple algérien sur la perfidie du pouvoir algérien contre le Maroc et ses intérêts supérieurs.

La Slovénie qualifie le plan marocain d’autonomie au Sahara de « bonne base pour parvenir à une solution définitive et consensuelle » au différend régional, sous les auspices du secrétaire général des Nations unies et de son envoyé personnel pour le Sahara occidental.

La République Centrafricaine a réaffirmé, lundi 10 juin à Rabat, son appui à la marocanité du Sahara. Une position exprimée, par Sylvie Baïpo-Temon, ministre des Affaires étrangères, à l’issue de ses entretiens avec Nasser Bourita, son homologue marocain.

David Cameron, ministre britannique des Affaires Étrangères, a reçu vendredi, une lettre d’une trentaine de parlementaires et Lords dans laquelle ils appellent Londres à soutenir « officiellement et sans tarder » le plan d’autonomie marocain comme « seule solution » au conflit artificiel autour du Sahara marocain. Cet appel qui n’est pas le premier du genre intervient en prévision du dialogue stratégique entre Rabat et Londres.