« Après avoir été sélectionnés comme les autres citoyens et citoyennes, et suivi toutes les étapes de préparation et de formation, ils ont été mis à l’écart parce qu’ils appartiennent au Parti de la Justice et du Développement », s’indigne le secrétariat général du PJD dans un communiqué publié jeudi 8 août.
La formation islamiste, présidé par Abdelilah Benkirane depuis octobre 2021, considère « cette exclusion comme inacceptable et une violation des dispositions de la Constitution et de la loi, disposant que l’adhésion politique n’est pas un délit ». Le PJD appelle « les autorités compétentes à intervenir pour corriger cette erreur » afin de permettre à ses membres « d’exercer leurs droits constitutionnels et de contribuer en tant que citoyens à cet important chantier national ».
Le recensement général est organisé en coordination entre le ministère de l’Intérieur et le Haut-Commissariat au Plan (HCP).