« Le PPS considère que les actes criminels et la politique de massacres organisés, de nettoyage ethnique et de déplacement forcé poursuivis par l’entité sioniste, conduisant à des scènes et des incidents similaires à ceux dont le monde a été témoin aux mains du régime nazi », dénonce un communiqué publié à l’issue de la réunion du bureau politique, tenue mardi.
Le PPS affirme que dans ce contexte « il n’est pas approprié d’avancer dans l’établissement de relations avec une entité qui commet des crimes de guerre et mène un génocide contre un peuple, enfreignant le droit international et le droit humanitaire international ».
Contrairement à la position tranchée du PJD, l’appel du PPS aux autorités marocaines est exprimé sur un ton modéré. Pour rappel, les islamistes ont exigé « de rompre tout contact, communication et relation de normalisation avec l’entité sioniste usurpatrice, fermer le soi-disant bureau de liaison israélien à Rabat et expulser officiellement tous ses représentants ».