En kiosque

Justice
Le Parquet général détaille la provenance des plaintes, précisant que 53 d’entre elles ont été déposées via des plateformes électroniques ou signalées par des…
Le Club des magistrats du Maroc dont le bureau exécutif a tenu une réunion le…
Mohammed El Ghaloussi Président de l’association plaignante, a salué la décision de la Cour de…
Le CSPJ a mis en lumière les sanctions infligées à des juges impliqués dans des…
Dans un contexte où la lutte contre la corruption reste une priorité nationale, l’INPPLC lance…
Collectivités territoriales : Soupçons de « corruption généralisée », A. Laftit minore le phénomène.
En effet, nombre d’entre elles, visent les élus et les cadres des collectivités locales. S’appuyant…
La mise en œuvre du projet de loi sur les peines alternatives marque une « avancée significative » pour le système judiciaire marocain, annonce Abdellatif Ouahbi, le très controversé ministre de la Justice.
Après les alertes émises par l’Instance nationale de probité, de la prévention et de lutte contre la corruption (INPPLC) quant au peu de cas affiché par l’Exécutif à la mise en place de la stratégie nationale et la mise en avant du manque à gagner induit annuellement par la corruption, une affaire évaluée à 50 milliards de Dh, il faut croire que la sanction ne s’est pas faite attendre. Mohamed Bachir Rachdi qui tente de bien faire avec ce qu’il a sous la main, en invitant le chef du gouvernement à assumer ses responsabilités à l’égard de l’INPPLC, subirait-il les contre-coups de son franc-parler resté pourtant dans les clous ?
Ladite loi-cadre contient une série d’articles définissant les grands axes de la politique de l’État…
L’ONG américaine Human Rights Watch (HRW) a critiqué la décision de la Cour de cassation…
Actu. à la une
Notre Sélection
Subscribe to News
Get the latest sports news from NewsSite about world, sports and politics.
Maroc
Services
Subscribe to Updates
Get the latest creative news from FooBar about art, design and business.