FMI

La région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) est appelée à progresser plus rapidement vers une croissance plus inclusive tirée notamment par le secteur privé, indique-t-on à l’issue d’un séminaire organisé dans le cadre du suivi de “l’Appel à l’action” lancé lors des Assemblées annuelles du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale tenues en octobre dernier à Marrakech.

D’ici 2028, le top-ten des plus riches économies africaines, selon les prévision établie par le Fonds monétaire international (FMI) d’ici à 2028. L’Égypte et l’Afrique du Sud échangeront leurs positions de leaders en 2023 et 2024, mais c’est l’Éthiopie qui affichera la hausse la plus dynamique dans les cinq années à venir.

Les perspectives de l’économie mondiale sont mitigées, au regard des évolutions de la croissance et de l’inflation, et du contexte actuel marqué par plusieurs chocs, a affirmé, vendredi à Marrakech, Gita Gopinath, première directrice générale adjointe du Fonds monétaire international (FMI).

La dette doit être exploitée de manière à stimuler le développement des pays et ne pas constituer un handicap à la croissance, ont affirmé, jeudi à Marrakech, les responsables du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque Mondiale (BM).

À l’occasion des Assemblées annuelles 2023 de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), le Maroc et les deux institutions ont rendu public une Déclaration de quatre principes pour une action collaborative mondiale renforcée face aux difficultés pour consolider la résilience et créer plus d’opportunités pour un avenir meilleur.