Chakib Alj, président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), a indiqué que le projet de la loi de finances (PLF) 2023 devrait contribuer à la dynamique de promotion de l’investissement privé.

Le projet de loi de Finances vient de boucler sa tournée au parlement et n’attend plus que sa publication au Bulletin officiel (BO) pour entrer en application. En effet la Chambre des représentants a adopté à la majorité, lundi, le (PLF) N 76.21 au titre de l’exercice 2022, en deuxième lecture, ce qui marque la fin du circuit pour la morasse budgétaire de 2022.

La commission des finances, de la planification et du développement économique à la Chambre des Conseillers a adopté à la majorité la première partie du Projet de loi de finances (PLF) au titre de l’exercice 2022. Cette première partie du PLF-2022 a reçu l’aval de 11 conseillers, alors que 3 autres s’y sont opposés et un conseiller s’est abstenu.

La majorité musèle l’opposition. Nabila Mounib, députée et secrétaire générale du Parti socialiste uni (PSU), en est convaincue, elle qui a dénoncé l’exclusion de sa formation des discussions autour du projet de loi de finances PLF-2022. Une « première du genre » qui entache l’exercice démocratique et viole les principes énoncés par la loi fondamentale.