Gouvernance

Lutte contre la corruption :L’Exécutif met au régime sec pour l’INPPLC, rien d’anormal, selon M. Baitas !  

Lutte contre la corruption : L’Exécutif met au régime sec l’INPPLC, rien d’anormal, selon M. Baitas !  

Après les alertes émises par l’Instance nationale de probité, de la prévention et de lutte contre la corruption (INPPLC) quant au peu de cas affiché par l’Exécutif à la mise en place de la stratégie nationale et la mise en avant du manque à gagner induit annuellement par la corruption, une affaire évaluée à 50 milliards de Dh, il faut croire que la sanction ne s’est pas faite attendre. Mohamed Bachir Rachdi qui tente de bien faire avec ce qu’il a sous la main, en invitant le chef du gouvernement à assumer ses responsabilités à l’égard de l’INPPLC, subirait-il les contre-coups de son franc-parler resté pourtant dans les clous ?

Absentéisme parlementaire : Les noms des mauvais élèves dévoilés

Absentéisme parlementaire : Les noms des mauvais élèves dévoilés, les électeurs y trouveront-ils à redire ?  

La liste des députés absents sans excuse valable a été publiquement lue, jeudi 14 novembre, lors de la séance plénière. La séance matinale consacrée à la discussion de la première partie du projet de loi de finances 2025 a été mise à profit par le secrétaire de la Chambre pour égrener les noms de plus de soixante-dix députés absents lors des sessions du 4 et 11 novembre. La quête de l’éthique a-t-elle pour autant démarré, est-on tenté de se demander ?

“Neutralité concurrentielle et accès au marché” : On a phosphoré à Marrakech... 

“Neutralité concurrentielle et accès au marché” : On a phosphoré à Marrakech… 

Le Conseil de la Concurrence a organisé, mercredi à Marrakech, une conférence internationale sur le thème “Neutralité concurrentielle et accès au marché”. Cette rencontre a pour objectif d’ouvrir un débat public sur les moyens de promouvoir un environnement de marché équilibré, permettant une participation équitable de tous les acteurs, indique le Conseil.

Crise dans les facultés de médecine : C’est parti pour durer ?  

Crise dans les facultés de médecine : C’est parti pour durer ?  

La crise profonde qui secoue les facultés de médecine a poussé les étudiants à boycotter, depuis six mois, cours, stages et examens. Ces derniers protestent contre la « non interaction » du gouvernement avec leurs revendications, en tête desquels le rejet de la réduction de la durée de leur formation de sept à six ans. Le ministre de la Santé qui a pris part à une réunion au parlement a multiplié les appels aux étudiants pour qu’ils rejoignent les bancs. Devant un silence du ministre en charge de l’Enseignement supérieur.

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