Ce verdict confirme le jugement en première instance, sur la base de poursuites pour « participation à injure et diffusion délibérée de fausses informations », « fabrication d’un crime fictif et outrage à une autorité publique » sur les ondes de Hit Radio.
La juridiction de deuxième degré a condamné aussi les deux autres accusés, dont le principal a vu sa peine réduite de cinq à quatre mois de prison ferme. Celle condamnant initialement le second à trois mois ferme a été confirmée.
Par ailleurs, la procédure civile a fait condamner ces deux accusés à verser solidairement une indemnité de 25 000 dirhams en faveur de Hit Radio.
En mars dernier, le tribunal correctionnel de première instance à Aïn Sebaa a poursuivi M. Bousfiha pour les faits incriminés, tout en le maintenant en liberté conditionnelle, sous caution de 100 000 dirhams.