Turquie
Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a annoncé lundi sa dissolution officielle, mettant fin à plus de quatre décennies de lutte armée contre l’État turc, a rapporté l’agence pro-kurde ANF. Le 9 mai, le PKK avait déjà annoncé avoir tenu son congrès, en vue de sa dissolution, « avec succès ». La Turquie a salué « une étape historique et encourageante ». mais les acteurs politiques turcs attendent plus d’Ankara.
A moins de sept semaines des élections présidentielle et législatives du 14 mai en Turquie, le Haut conseil électoral a publié, mardi, la liste provisoire des quatre candidats autorisés à concourir, dont l’actuel président Recep Tayyip Erdogan. Mais l’opposition conteste la légalité de sa candidature, affirmant que le chef de l’État termine son deuxième mandat, la limite selon la Constitution. Une requête a été déposée auprès des autorités avec très peu de chances d’aboutir.
L’ambassadeur de France à Ankara a été convoqué au ministère turc des Affaires étrangères pour avoir récompensé des membres du Parti des travailleurs du Kurdistan au Sénat français.
En Turquie, à un peu plus de deux mois des élections législatives et présidentielle, le lancement officiel de la campagne électorale a démarré vendredi, avec un enjeu pour l’opposition : mettre fin à 20 ans de pouvoir de Recep Tayyip Erdogan. Paris qui parait difficile à relever face aux divergences nées de la désignation du leader de l’opposition.
Le ministre iranien des Affaires étrangères est arrivé mercredi à Ankara, pour rencontrer son homologue turc Mevlut Cavusoglu et exprimer la solidarité du peuple et du gouvernement iraniens au gouvernement et à la nation turcs. Une visite qui intervient à la veille d’une réunion quadripartie à Moscou où Turcs et Syriens sont attendus. En effet, Russes et Iraniens tentent de convaincre les deux pays voisins de tourner la page…
L’alliance de six partis de l’opposition turque a désigné lundi Kemal Kiliçdaroglu, leader de sa principale formation, pour affronter à la présidentielle du 14 mai le chef de l’État Recep Tayyip Erdogan, au pouvoir depuis vingt ans.
En Turquie, à dix semaines de l’élection présidentielle, Recep Tayyip Erdogan peut souffler. Le président turc sera certainement avantagé par l’explosion de l’opposition qui, vendredi, a échoué à choisir un candidat commun pour lui faire face.
Trois semaines après le violent séisme qui a touché le sud de la Turquie et la Syrie voisine, un nouveau tremblement de terre de magnitude 5,6 a frappé la ville de Malatya (sud-est) lundi 27 février, faisant un mort et au moins une soixantaine de blessés. Une réplique de plus qui préoccupe en Turquie.
Un nouveau séisme, de magnitude 6,4, a été ressenti lundi 20 février 2023 dans le sud de la Turquie déjà ravagé. L’épicentre se situe dans la localité de Defne, province de Hatay. La secousse a été suivie trois minutes plus tard par une seconde secousse, engendrant d’autres répliques. Ce tremblement de terre a été ressenti dans les pays voisins, Syrie en tête. D’autres victimes se sont ajoutées déjà aux 47.000 morts déjà recensés dans les deux pays.
Contrairement à l’Union européenne et aux Etats-Unis, le chef de la diplomatie turque a rappelé à son homologue américain que la Turquie ne sanctionnera pas la Russie. Ankara a toutefois rappelé que son pays n’aiderait pas à contourner les sanctions.
Actu. à la une
Notre Sélection
Subscribe to News
Get the latest sports news from NewsSite about world, sports and politics.
Maroc
Services
Subscribe to Updates
Get the latest creative news from FooBar about art, design and business.