Nouvelle déconvenue des séparatistes au parlement européen. Des photos à la gloire du Polisario ont été retirées d’une exposition intitulée : « Un endroit dans le monde ». L’événement avait été inauguré, mercredi, en marge d’une conférence sur « l’avenir de la paix », organisée par Podemos.
La formation espagnole d’extrême droite Vox a condamné une exposition de photos à la gloire des combattants du Polisario, organisée au siège du Parlement de la région autonome de Cantabrie.
Le Polisario a réagi aux conditions exigées par le Maroc pour reprendre le processus politique bloqué depuis mars 2019. Le Front séparatiste a « condamné fermement le langage de rejet et d’intransigeance contenu dans le communiqué », produit à l’issue de la réunion, tenue jeudi à Rabat, entre Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, et Staffan de Mistura, messi dominici du patron de l’ONU pour le Sahara marocain.
Le lobby pro-séparatistes du Polisario ne chôme pas ! Une fois la déconvenue du 29 février au Parlement européen digérée, le voilà qui revient à la charge avec de nouveaux projets anti-Maroc.
Le Polisario menace de saisir la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) pour faire avorter le projet espagnol de transfert du contrôle de l’espace aérien du Sahara au Maroc.
Siemens Gamesa maintient ses investissements au Sahara. Une décision prise par le conseil d’administration du groupe allemand en réponse aux questions soulevées, lors de sa dernière assemblée générale, par l’ONG Western Sahara Resource Watch (WSRW), proche du Polisario.
La pression du Polisario et de ses partisans faiblit avec le temps en Espagne. Dernier épisode d’une telle bérézina, le gouvernement a refusé de « corriger la marocanité de Laâyoune », parue dans un document publié au Bulletin officiel.
Le discours prononcé par Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme, lundi 4 mars à Genève, lors des travaux de la 55ème session du Conseil des Droits de l’Homme, a de quoi inquiéter les séparatistes du Polisario. Le diplomate autrichien a en effet passé outre le « conflit au Sahara ».
Après deux semaines de silence, le gouvernement irlandais a fini par reconnaitre avoir reçu des représentants du Polisario à Dublin. Interpellé à ce sujet, Michael Martin, ministre irlandais des Affaires étrangères, en a fait état le 27 février.
Le Maroc s’est félicité que la question du Sahara ne figure plus à l’ordre du jour à l’Union africaine. « Le 37eme sommet des chefs d’Etat et de gouvernement, organe suprême de l’institution panafricaine, n’a fait aucune référence ou citation sur la cause nationale », a affirmé, à la presse, depuis Addis-Abeba, Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères.
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