Le 11 septembre, des éléments armés ont froidement assassiné deux camionneurs marocains qui transportaient des marchandises. Si l’attaque n’a pas été revendiquée jusqu’à présent, les observateurs pointent du doigt le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GISM).

Une semaine après le sanglant attentat suicide commis contre une mosquée chiite à Kunduz en Afghanistan qui a fait près de 150 morts, une nouvelle explosion a visé un autre lieu de culte chiite situé dans la province de Kandahar. Une trentaine de personnes sont décédées et plus d’une dizaine ont été blessées.

Un attentat suicide a eu lieu aux abords d’une mosquée chiite de la ville afghane de Kunduz, faisant, selon un bilan encore provisoire, au moins 50 morts et 140 blessés. La filiale locale de Daech, dite Daech de Khrasan, a revendiqué cet attentat meurtrier qui fait suite à d’autres non moins sanglants.

Sur la base de renseignements précis fournis par les services de la Direction générale de la surveillance territoriale (DGST), le bureau central des investigations judiciaires (BCIJ) a réussi, mercredi matin, à avorter une attaque terroriste imminente après le démantèlement d’une cellule extrémiste opérant à Tanger.

Des rapports internationaux ont révélé l’implication des princes saoudiens, via des sociétés privées qui leur sont affiliées, dans le transfert d’armes de la Serbie à Daech au Yémen.

Les Taliban ont affirmé, lundi 4 octobre, avoir neutralisé à Kaboul une cellule de Daech, quelques heures après un attentat à la bombe contre une mosquée de la capitale afghane, dans lequel au moins cinq personnes ont été tuées.

Le Comité exécutif du Secrétariat général d’Interpol a levé l’interdiction de la Syrie, a assuré Hussein Joumaa, directeur du Département de la sécurité pénale syrienne, indiquant qu’une délégation du Secrétariat sera à Damas le mois prochain.

Devant la communauté internationale, Choguel Maïgua, chef de l’Exécutif du Mali, s’est plaint de la façon dont s’est effectué le retrait de la force française Barkhane de son pays. Une décision unilatérale de la France selon lui, que le gouvernement de transition a déploré.

En raison de liens présumés avec les plans de la cellule terroriste affiliée à Daech et démantelée à Errachidia, le 14 septembre, quatre autres individus ont été interpellés respectivement les 16, 20 et 22 septembre.