Amérique du Sud
La candidate de la gauche au pouvoir a très largement remporté dimanche l’élection présidentielle au Mexique, selon les premiers résultats officiels annoncés par l’Institut national électoral (INE).
Fort du référendum qui a rattaché la région de l’Essequibo au Venezuela, N. Maduro qui a lancé des négociations avec son voisin guyanais pour conjurer toute escalade militaire, voit d’un mauvais œil la présence militaire britannique dans la région. A titre préventif, il a lancé des manœuvres militaires qualifiées de « défensives ».
Lors d’un référendum tenu au Venezuela, plus de 96% des votants se sont montrés favorables à l’intégration de la région disputée de l’Essequibo. Elle représente plus des deux tiers du Guyana.
Gustavo Petro, président colombien, a comparé les attaques de l’armée israélienne sur la bande de Gaza à des « pratiques nazies ».
Le Brésil a exprimé jeudi son mécontentement après des déclarations israéliennes sur une opération menée par la police brésilienne pour déjouer de présumés projets d’ « attaques terroristes », qui ont abouti à deux arrestations.
Les relations entre la Colombie et l’entité sioniste se sont dégradées sur fond de l’offensive meurtrière menée contre la bande de Gaza et qui a coûté la vie à près de 3000 Palestiniens et fait près de 10 000 blessés.
Nicolas Maduro, président vénézuélien, a accusé, lundi, Israël de « génocide » contre les Palestiniens, après l’annonce israélienne d’un « siège total » de la bande de Gaza, évoquant la réaction du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.
Le parquet vénézuélien a annoncé jeudi avoir émis un mandat d’arrêt contre le chef de l’opposition Juan Guaido, une première, et qu’il allait demander le lancement d’une notice rouge par Interpol, sur la base d’enquêtes menées par un tribunal des États-Unis et divulguées par la presse.
En Bolivie, le Congrès du parti au pouvoir, le MAS, a pris fin plus tôt que prévu en intronisant l’ancien président Evo Morales comme candidat à la présidentielle de 2025. Excluant de fait l’actuel président Luis Arce, qui ne compte pas en rester là.
La Cour suprême du Brésil a condamné à 17 ans et 14 ans de prison pour deux partisans de l’ex-président Jair Bolsonaro ayant participés aux émeutes du 8 janvier à Brasilia.
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