Amérique du Sud

La démocratie est sauve en Bolivie après l’échec du putsch conduit par le général Juan José Zúñiga Luis Arce. Arrêté après un changement à la tête de l’état-major réalisé au palais présidentiel, cérémonie retransmise par la télévision, il risque 20 ans de prison. Le coup d’état avorté a été dénoncé par plusieurs capitales, Moscou en tête. Le peuple bolivien n’a d’ailleurs pas manqué d’investir, à l’appel du président, les rues pour réclamer le retour des troupes dans leurs casernes.