Le «variant congolais» de la Covid, découvert fin septembre au Congo, a été signalé dans 3 régions de France, il est classé «sous surveillance» par les autorités de santé britanniques, européennes et françaises. Ces dernières se veulent rassurantes.

Ali Bongo Odimba, président de la République gabonaise, est arrivé vendredi à Rabat pour une visite de travail et d’amitié mais aussi de fraternité. A l’occasion, il a qualifié le Roi Mohammed VI de « frère » et a fait part de sa reconnaissance envers le souverain.

Le bureau de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Afrique a annoncé, mercredi, qu’une épidémie de méningite s’est déclarée dans le nord-est de la République démocratique du Congo, où 129 décès ont été enregistrés.

Des militants armés de machettes, de bâtons et de gourdins ont tué au moins 30 personnes dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), signale-t-on.

Face aux nombreux défis de sécurité transfrontalière, Cameroun et Nigeria veulent mutualiser les efforts. Des représentants des deux pays se sont rencontrés à Abuja pour revisiter leur stratégie de défense, dans un contexte marqué par la montée des crises.

Le président du Conseil militaire de transition au Tchad (CMT), Mahamat Idriss Déby, a proposé mercredi « de relancer l’accord sécuritaire quadripartite entre la Libye, le Soudan, le Niger et le Tchad » en créant une force mixte aux frontières libyennes, pour prévenir notamment l’incursion de groupes armés.

L’ancien président tchadien Hissène Habré est décédé mardi à 79 ans au Sénégal où il avait été condamné à la prison à vie en 2016 pour crimes contre l’humanité par une juridiction africaine.

Le Président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi, a pris acte des préoccupations d’une délégation parlementaire africaine conduite par le Maroc, au sujet des dysfonctionnements du Parlement panafricain (PAP), indique vendredi un communiqué de la Chambre des Représentants.

Amnesty international et Human Right Watch (HRW) ont encore averti de l’ampleur de la crise séparatiste au Cameroun. Les deux ONG dénoncent des crimes et exactions commis sur le terrain et craignent que «la limitation de l’information» autour de ce conflit ne le plonge dans la banalisation.