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OTAN
« Ne soyons pas naïfs au sujet de la Chine. La montée en puissance de ses forces armées, ses investissements dans l’industrie de défense et…
Avec les récentes interventions d’Emmanuel Macron, du chancelier allemand Olaf Scholz ou encore de Boris Johnson, les pays européens tentent de faire entendre leur voix dans la crise qui touche l’Ukraine, posant des menaces sur la sécurité à l’est du continent. « Ça ne marche pas vraiment », selon Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, estimant que l’influence de Washington empêche l’Europe de défendre ses propres intérêts.
Le récent renforcement de la présence militaire de l’Otan en Europe de l’Est pourrait revêtir un caractère plus permanent, a déclaré lundi 7 février le secrétaire général de l’Alliance atlantique Jens Stoltenberg.
La diplomatie chinoise a vigoureusement dénoncé la «politique de confrontation» de l’OTAN, enfermée dans sa «mentalité de guerre froide et ses préjugés idéologiques». Pour Pékin, l’expansion des blocs militaires doit prendre fin.
En mettant en cause une éventuelle adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, un sénateur républicain s’est attiré les foudres de la Maison blanche qui lui a reproché de ne pas être aligné sur des «valeurs américaines bipartisanes de longue date».
Le ministre hongrois de la Défense a exprimé son opposition au renforcement de l’OTAN sur son territoire dans le cadre des tensions entourant l’Ukraine. Il a également confirmé l’opposition de Budapest à une éventuelle adhésion à l’Alliance de Kiev.
Les tensions se sont accrues ces derniers mois autour de l’Ukraine, que les Occidentaux estiment être sous la menace d’une invasion russe. Bien que la Russie démente ces assertions, l’Alliance brandit la menace de nouvelles sanctions et se renforce en Europe de l’Est.
Les pays de l’Otan ont placé leurs armées en état d’alerte et décidé d’envoyer des renforts en Europe de l’Est, dont des navires de guerre et des avions de combat, a déclaré Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’alliance. Ce branle-bas de combat intervient après la livraison par Washington de la première tranche d’aide militaire US récemment décidée par Joe Biden à l’Ukraine.
Dans le cadre de ses propositions pour parvenir à une désescalade en Europe et garantir sa propre sécurité, la Russie demande un retrait des troupes étrangères de l’OTAN de certains pays d’Europe, afin de revenir à la configuration de 1997.
Dans son discours devant les eurodéputés, le président français a appelé à la construction d’un «nouvel ordre de sécurité» en Europe en compagnie de l’OTAN, afin de faire face à la Russie, et demandant «un dialogue franc et exigeant» avec Moscou.
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