Mohamed Azouzi, né à Casablanca en 1946, compte des expositions dans plusieurs galeries et institutions, à Casablanca, Tokyo, Moscou, New-York, Paris et Rabat. «Ses œuvres sont présentes dans des collections parmi lesquelles celle du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, celles des villes de Paris et de Pantin», rappelle un communiqué de la Fondation Hassan II.
Les compositions chromatiques des tableaux de l’artiste rappellent les tons de sa terre natale. «Les formes témoignent de l’éveil d’un souvenir et suggèrent les lignes d’une architecture traditionnelle», tout en livrant une sémiotique du sensible.
Le plasticien défunt avait fait ses classes en arts plastiques dès 1967, à l’Ecole des Beaux-Arts de Casablanca puis à l’École nationale supérieure des arts décoratifs, arts plastiques à l’Université Sorbonne de Paris, en France. Il obtient en 1977 un diplôme d’arts plastiques et murales de l’Ecole supérieure des Beaux-Arts à Paris.
Après une longue maladie, M. Azouzi s’est éteint en août 2022 en France, alors qu’il préparait son exposition à l’Espace Rivages. Amir Azouzi, son fils et collaborateur, poursuit désormais l’œuvre de son père. Que le succès soit au rendez-vous…