« Nous travaillerons avec nos alliés et partenaires pour prévenir et répondre à toute attaque menée par l’Iran », a déclaré dans un communiqué Jake Sullivan, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison blanche. « Si l’Iran s’en prend à l’un de nos ressortissants, y compris l’une des 52 personnes citées hier, il en subira de graves conséquences », a-t-il ajouté.
L’Iran a imposé samedi des sanctions à une dizaine de ressortissants américains supplémentaires, dont la plupart sont des militaires, pour l’exécution du général Q. Soleimani, qui commandait la force Al Qods chargée des opérations extérieures. Accompagné d’Abou Mahdi Al-Mohandis, un des leaders du Hachd chaabi irakien, ils ont été tués tous les deux, avec leurs compagnons, le 3 janvier par un drone US près de l’aéroport de Bagdad.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a précisé que 51 Américains étaient désormais visés pour « terrorisme » et violations des droits de l’homme, une mesure qui permet aux autorités iraniennes de saisir d’éventuels actifs qu’ils détiennent en Iran. Faute d’actifs connus en Iran de la part de ces Américains, la sanction semble surtout symbolique.
On ignore par ailleurs pour le moment la raison pour laquelle J. Sullivan a fait référence à 52 personnes alors que l’Iran évoque le chiffre de 51. Parmi les personnes visées par Téhéran figurent notamment le général Mark Milley, chef d’État-Major des armées des Etats-Unis, et Robert O’Brien, l’ancien conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche.
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