La situation se dégrade depuis des années, et aujourd’hui 14 % des mineurs vivent sous le seuil de pauvreté en Italie. On parle de 1 382 000 enfants et adolescents. Un sur 15 a travaillé avant l’âge légal de 16 ans, un sur 5 pour les adolescents de 14/15 ans.
C’est un retour en arrière : les chiffres se rapprochent de ceux de 2013, 340 000 mineurs au travail à l’époque, 336 000 aujourd’hui alors qu’entre-temps le phénomène avait di
La situation se dégrade depuis des années, et aujourd’hui 14 % des mineurs vivent sous le seuil de pauvreté en Italie. On parle de 1 382 000 enfants et adolescents. Un sur 15 a travaillé avant l’âge légal de 16 ans, un sur 5 pour les adolescents de 14/15 ans.
C’est un retour en arrière : les chiffres se rapprochent de ceux de 2013, 340 000 mineurs au travail à l’époque, 336 000 aujourd’hui alors qu’entre-temps le phénomène avait diminué. Il touche toujours, sans surprise, les régions sud en majorité.
Le secteur de la restauration emploie un quart de ces enfants, le commerce de détail, 16 %. Mais il y a aussi le travail en ligne qui concerne à présent près de 6 % des mineurs dans la création de contenu pour les réseaux sociaux ou la revente en ligne. Corollaire de cette situation, l’Italie a l’un des plus forts taux de jeunes en décrochage scolaire, qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni à l’école à l’échelle de l’Union européenne.
Enfin, les enfants qui travaillent sont souvent des proies faciles à la criminalité organisée, l’enquête montre que 40 % des mineurs et des jeunes pris en charge par les services de la justice ont travaillé avant l’âge légal.
minué. Il touche toujours, sans surprise, les régions sud en majorité.
Le secteur de la restauration emploie un quart de ces enfants, le commerce de détail, 16 %. Mais il y a aussi le travail en ligne qui concerne à présent près de 6 % des mineurs dans la création de contenu pour les réseaux sociaux ou la revente en ligne. Corollaire de cette situation, l’Italie a l’un des plus forts taux de jeunes en décrochage scolaire, qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni à l’école à l’échelle de l’Union européenne.
Enfin, les enfants qui travaillent sont souvent des proies faciles à la criminalité organisée, l’enquête montre que 40 % des mineurs et des jeunes pris en charge par les services de la justice ont travaillé avant l’âge légal.