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Home»Maroc»Défense»OTAN

S. Lavrov à l’ONU : L’OTAN déclarée acteur de déstabilisation internationale

Le ministre russe des Affaires étrangères a participé mardi 16 juillet à une réunion du Conseil de sécurité, alors que la Russie en occupe la présidence tournante. Une fois de plus, il a mis l’OTAN dans le box des accusés.
Perspectives MedBy Perspectives Med16 juillet 2024Updated:17 juillet 2024 OTAN 6 Mins Read
S. Lavrov à l’ONU : L’OTAN déclarée acteur de déstabilisation internationale
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Sergueï Lavrov a présidé ce 16 juillet le Conseil de sécurité de l’ONU à New York, ouvrant une réunion extraordinaire sur « la coopération multilatérale dans l’intérêt de créer un ordre mondial plus juste, démocratique et durable ».  Durant une intervention de 20 minutes, le haut diplomate russe a vertement tancé les actions de l’OTAN et de Washington à travers le monde. Il a dénoncé un déplacement de l’Alliance atlantique vers la région Asie-Pacifique, y créant une logique de blocs pour le moins néfaste, notamment via l’Aukus avec l’Australie. S. Lavrov a de surcroît évoqué la résolution du conflit en Ukraine. Il a fait valoir que Moscou était prêt à trouver un « équilibre des intérêts », ce qui suppose de tenir compte « des nouvelles réalités géostratégiques » du terrain. Des propos qui interviennent alors que Kiev exige toujours le retrait des forces russes jusqu’aux frontières de 1991, ce qui inclut la Crimée rattachée à la Russie par référendum en 2014.

Le chef de la diplomatie russe a ensuite appelé « tous ceux qui souhaitent surmonter la crise » à garder en mémoire le problème épineux des « minorités nationales », avant de rappeler que la résolution de la crise devait s’accompagner de « mesures concrètes » pour « éliminer les menaces occidentales contre la Russie ».  S. Lavrov a renvoyé ses interlocuteurs aux propositions émises par Vladimir Poutine dans un discours de politique générale le 14 juin dernier. Le dirigeant russe a indiqué que des négociations avec l’Ukraine pourraient être entamées dès lors que celle-ci retirerait ses troupes des Républiques populaires de Donetsk (RPD) et de Lougansk (RPL) ainsi que des régions de Zaporojié et de Kherson, et accepterait d’opter pour un « statut neutre – non aligné, non nucléaire », évoquant aussi une « démilitarisation », une « dénazification » et une levée des sanctions contre la Russie.

Le ministre russe a rencontré Peter Szijjarto, son homologue hongrois, en marge du Conseil de sécurité de l’ONU à New York. Ce dernier a confié, à l’issue de leur discussion, que Budapest entendait poursuivre sa mission de paix, en dépit des critiques des autres membres de l’UE. « Nous sommes habitués à ce genre d’attaques, nous sommes habitués à ce genre de pressions », a balayé ce 16 juillet le ministre hongrois des Affaires étrangères. « Il est évident que les politiciens bellicistes de l’UE sont mécontents de ce que nous faisons, parce qu’ils ne se soucient pas de l’escalade, nous si, et nous allons continuer notre mission de paix », a-t-il confié.

Depuis le début du mois de juillet, Viktor Orban et la Hongrie mènent une campagne diplomatique éclair à travers le monde pour trouver une porte de sortie au conflit ukrainien. Une attitude vivement critiquée du côté de Bruxelles et des alliés occidentaux de Kiev.

Après avoir demandé un cessez-le-feu dès le 2 juillet à Volodymyr Zelensky, V. Orban a rencontré le président russe le 5 juillet à Moscou puis Xi Jinping à Pékin le 8 juillet. Il est ensuite parti pour les États-Unis et la Floride pour rencontrer l’ancien président et candidat à la Maison Blanche Donald Trump le 11 juillet. Et voici que son ministre a rencontré S.Lavrov ce 16 juillet à New York en marge de réunions à l’ONU. « Nous comprenons tous que la stratégie européenne, qui consiste depuis deux ans et demi à copier la stratégie américaine, a échoué : les sanctions européennes ont fait plus de mal à l’économie européenne qu’à l’économie russe », a-t-il dénoncé.  « Les livraisons d’armes n’ont absolument pas changé la situation sur le champ de bataille, les morts sont de plus en plus nombreux », a-t-il poursuivi, avant d’ajouter : « notre position est parfaitement claire, il faut instaurer un cessez-le-feu le plus rapidement possible pour débuter des négociations de paix ». Le 15 juillet, Balazs Orban, conseiller du Premier ministre V.Orban indiquait au Magyar Nemzet que le plan de paix de ce dernier pour résoudre le conflit en Ukraine était « sur le bureau de chaque Premier ministre de l’UE ». Budapest compte utiliser la présidence tournante de l’UE, qu’elle détient pour six mois, pour créer les conditions favorables à des négociations de paix.

Les conditions du Kremlin

« Le premier sommet pour la paix n’était pas du tout un sommet pour la paix. Donc, visiblement, il faut d’abord comprendre ce qu’il [Volodymyr Zelensky] entend par là », a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, dans une interview à Zvezda, diffusée ce 16 juillet sur Telegram.

« Je pense que des représentants russes devraient participer à ce deuxième sommet », a déclaré à la presse V. Zelensky le 15 juillet à Kiev, évoquant une nouvelle réunion internationale. Il a dit espérer un « plan » en vue d’une telle rencontre d’ici le mois de novembre. Une date qui coïncide avec l’élection présidentielle américaine, prévue le 5 novembre. Cet échange intervient après la conférence organisée en Suisse, mi-juin, dite « sur la paix en Ukraine » en Occident, mais dont la Russie avait été exclue, suscitant de vives critiques de la Chine et de plusieurs pays non occidentaux, dont l’Inde et la Turquie.

L’Ukraine avait finalement concédé qu’une participation de la Russie serait un jour nécessaire.

L’Ukraine a décrété en 2023 l’interdiction de toute négociation avec la Russie tant que V. Poutine serait président de ce pays. Cette ouverture semble une entorse à ses propres principes. V. Zelensky a posé plusieurs conditions à la paix depuis 2022, évoquant notamment le retrait des forces russes des régions que l’Ukraine revendique encore, dont la Crimée rattachée en 2014 par référendum à la Russie. Des principes jugés irréalistes par Moscou.

Dans un discours de politique étrangère prononcé le 14 juin, le maitre du Kremlin avait indiqué que des négociations avec l’Ukraine pourraient être entamées dès lors que celle-ci retirerait ses troupes des Républiques populaires de Donetsk (RPD) et de Lougansk (RPL) ainsi que des régions de Zaporojié et de Kherson, et accepterait d’opter pour un « statut neutre – non aligné, non nucléaire », évoquant aussi une « démilitarisation », une « dénazification » et une levée des sanctions contre la Russie.

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