Sévère coup que celui que vient d’essuyer le Parti du congrès : R. Gandhi venait à peine de finir une marche de cinq mois dans tout le pays pour redynamiser son image et celle de sa formation ; ce fils et petit-fils de Premier ministre porte un nom qui attire les voix d’électeurs et permettait au Congrès d’espérer représenter une alternative lors des élections de l’année prochaine.
Maintenant, ces chances s’écroulent. Les poursuites des autorités contre l’opposition ont explosé ces dernières années, envoyant beaucoup de ses dirigeants en prison ou les forçant à rejoindre le BJP. R. Gandhi a encore une mince chance de retourner au Parlement s’il obtient une suspension judiciaire de sa peine.