Les futurs bacheliers sont répartis entre les branches scientifiques et techniques à hauteur de 73% et les branches littéraires à hauteur de 26%, tandis que 55% d’entre eux sont inscrits dans les filières internationales. Pour la réussite de cette échéance, le département a mobilisé les différents acteurs et pris les mesures organisationnelles, en mettant à disposition 1 833 centres d’examen avec un total de plus de 28 000 salles d’examen au niveau de toutes les académies, et en mobilisant 40 000 correcteurs, a ajouté le ministre.
Par ailleurs, 765 sujets ont été préparés pour les deux sessions du Baccalauréat, dont 330 sujets adaptés aux candidats en situation de handicap, en plus de la publication d’un arrêté ministériel relatif au cahier des procédures de l’organisation des épreuves du baccalauréat.
C. Benmoussa a souligné que son département avait continué à adopter le numérique pour la production et la gestion des certificats de baccalauréat et des relevés de notes, en inscrivant le numéro de la carte d’identité nationale électronique du candidat sur l’attestation de baccalauréat, en renforçant la sécurité des épreuves écrites par l’adoption de codes secrets électroniques et en simplifiant et numérisant la livraison des sujets d’examen du baccalauréat aux Académies régionales de l’éducation et de la formation.
Afin de lutter contre le phénomène de la triche aux examens, le ministre a indiqué que des opérations de sensibilisation ont été menées auprès des candidats dans les établissements d’enseignement, en coordination avec les autorités régionales et sécuritaires, faisant également état de la mobilisation des partenaires du système éducatif, notamment les familles des élèves.
Enfin, le ministre a souligné que son département veille à assurer la crédibilité de ces examens aux niveaux national et international, afin de faciliter l’inscription des lauréats dans les filières post-baccalauréat.