Accompagnée de Danny Danon, député du Likud et ancien envoyé des Nations unies (ONU), à Sderot, N. Haley a averti que « si vous pensez que cela n’arrivera qu’en Israël, si nous sommes trop arrogants, cela pourrait tout à fait arriver en Amérique aussi. » Et d’ajouter que « la Chine a financé l’Iran pendant tout ce temps. Les services de renseignement russes les ont aidés à savoir où tout se trouvait. L’Iran les a aidés à s’entraîner. Ce n’est donc pas le Hamas. Ce sont tous des meurtriers et des complices ». La colonie israélienne a été éprouvée par l’opération Déluge d’Al-Aqsa. « Si nous voulons vraiment que cela ne se reproduise plus jamais, nous devons être honnêtes et sincères avec nous-mêmes, en nous demandant qui a fait cela », a ajouté l’ancienne gouverneure de Caroline du Sud qui, pour Donald Trump, candidat républicain en lice pour la course à la Maison Blanche, sera « dans notre équipe sous une forme ou une autre ».
A Moscou, le gouvernement russe s’est montré très critique à l’égard d’Israël depuis le début de la guerre à Gaza. Il a accueilli les représentants du Hams, mais aussi d’autres factions palestinienne en gagées dans un processus de réconciliation, et multiplié les appels demandant à Israël de cesser les hostilités. Plus, Moscou a notamment déposé une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu qui ne mentionnait pas le Hamas, et a accusé Israël d’utiliser des « méthodes cruelles » dans sa campagne contre les Palestiniens de Gaza.