Cette rencontre a permis de croiser les regards et de confronter les approches autour de l’éducation non formelle, en réunissant des représentants de l’administration publique, du monde académique et du tissu associatif, indique la Fondation.
Les intervenants ont échangé sur les pratiques mises en œuvre dans chaque pays : la stratégie nationale portée par les autorités marocaines en matière d’inclusion éducative, le modèle développé par la Fondation Zakoura et mis en place dans plusieurs régions du Maroc, ainsi que les expériences menées par d’autres structures associatives engagées sur le terrain, au Maroc et en Tunisie. Les échanges ont mis en lumière les enjeux éducatifs, sociaux et économiques auxquels font face les jeunes en rupture, et ont souligné l’importance de renforcer les complémentarités entre les différents acteurs pour proposer des solutions adaptées et durables.
Cette table ronde marque une étape vers une coopération renforcée en matière d’éducation inclusive, avec pour ambition commune de promouvoir des parcours de deuxième chance ancrés dans les réalités des territoires.