Tout en se félicitant de la démarche marocaine entreprise en signant le moratoire onusien relatif à la peine de mort, le PPS n’a pas hésité à exprimer son opposition à la réforme, en l’état, de la législation sur le droit de grève. La formation dirigée par Nabyl Benabdellah aura ainsi fait preuve de fidélité vis-à-vis de ses principes progressistes et de défense des classes laborieuses qui endurent les pires difficultés par les temps qui courent.
Sur le plan international, cette formation n’a pas manqué de renouveler sa solidarité avec le peuple syrien, exprimant sa satisfaction quant à la chute du régime autoritaire syrien et appelant à une transition vers la démocratie, la stabilité et la construction de la paix. Le PPS a insisté sur l’importance d’une vigilance maximale de la part des forces vives syriennes pour éviter les dérives internes et les ingérences étrangères, particulièrement de grandes puissances ou de pays voisins impliqués dans le conflit. Dans ce contexte, le parti a fermement condamné l’agression israélienne contre la Syrie, et a dénoncé l’inaction de la communauté internationale face à ces violations.
Sur le dossier palestinien, le PPS a renouvelé son soutien inconditionnel à la juste lutte contre le colonialisme sioniste en appelant à un renforcement de l’isolement international d’Israël. Le Parti a exigé une pression accrue sur l’État usurpateur pour mettre fin à la guerre contre le peuple palestinien, en particulier à Gaza, et pour garantir l’accès de l’aide humanitaire dans les zones de conflit. Cette position s’accompagne, par ailleurs, d’un appel pressant à l’arrêt de toute forme de normalisation avec Israël, tant au niveau international qu’au sein du monde arabe. CQFD…