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Laboratoires d’armes biologiques en Ukraine : R. Kennedy Jr enfonce le clou

Des laboratoires biologiques US parsemés à travers le monde, y compris en Ukraine, servent à développer plusieurs types d’armes biologiques, a déclaré Robert Kennedy Jr, candidat à la prochaine présidentielle US et neveu du Président John Kennedy.
R. Kennedy Jr enfonce le clou

Les États-Unis ont implanté leurs laboratoires biologiques « partout dans le monde, en Ukraine et ailleurs, qui développent toutes sortes d’armes biologiques hideuses », a soutenu lundi Robert Kennedy Jr qui souhaite défier Joe Biden pour l’investiture démocrate, en vue de l’élection présidentielle 2024. « Si nous ne sommes pas en mesure de négocier avec nos opposants sur de telles questions [en référence à l’intelligence artificielle], d’autres menaces existentielles s’imposent également. Il ne s’agit pas uniquement de l’IA, mais de l’élaboration d’armes biologiques », a-t-il affirmé pendant sa discussion avec Elon Musk, patron de Twitter et SpaceX, diffusée en direct sur Twitter.

R. Kennedy a considéré le Président ukrainien Zelensky comme un comédien qui « n’a pas d’expérience dans la politique » avant d’appeler les autorités des États-Unis à régler les conflits avec la Russie et la Chine le plus rapidement possible, relaient les médias. À son avis, c’est de la pure folie pure de se lancer dans un conflit avec un pays disposant de la même quantité d’armes nucléaires que les USA.

Selon un rapport publié en avril par le parlement russe, au moins 30 laboratoires US mènent des études biologiques à des fins militaires en Ukraine sur l’ordre du Pentagone.

Après la publication du rapport, la commission de la Douma (chambre basse du parlement russe) pour l’ingérence des pays étrangers dans les affaires intérieures de la Russie a invité Lynne Tracy, ambassadrice US à Moscou, à une réunion pour clarifier les activités biologiques de Washington en Ukraine. La mission américaine avait décliné cette invitation.

A signaler aussi que l’opinion italienne est échaudée à l’idée de voir ce pays membre de l’OTAN abriter des laboratoires militaires de recherches biologiques. Des journalistes indépendants craignent que la ville de Sienne accueille pareils projets militaires dont Washington cherche à délocaliser hors de son territoire.

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