« L’exclusion du Polisario est la condition que nous avons exigée pour prendre part à cette réunion. Elle fut acceptée par les organisateurs », affirme Jamal El Asri, secrétaire général du PSU. Ce résultat est le fruit d’une mobilisation que le PSU avait menée, en juin dernier lors d’une conférence de soutien à Gaza, tenue également à Beyrouth, et marquée par la participation de formations arabes de gauche.
Pour rappel, le Polisario avait saisi cette tribune arabe pour organiser une rencontre placée alors sous le thème confusionniste : « Du Sahara occidental à la Palestine, le génocide se poursuit. » Un événement boudé par la majorité des partis arabes de gauche.