Pour rappel, l’envoyé du secrétaire général de l’ONU avait abordé le dossier du Sahara avec des représentants de la Belgique, la Suisse, la Turquie, les Emirats arabes unis et l’Allemagne. Des pays qui ne sont pas directement impliqués dans la gestion du conflit. Les membres du Club des amis du Sahara occidental, rappelle-t-on, sont composés des Etats-Unis, de la Russie, du Royaume-Uni, de la France et de l’Espagne.
S. Dujarric a également appuyé la « discrétion » avec laquelle S. de Mistura mène ses missions avec l’ensemble des parties. « Comme dit le secrétaire général (de l’ONU), certaines choses doivent être engagées dans une diplomatie discrète », a-t-il affirmé.