Alger a manifesté son appui « au renforcement de l’implication des Etats-Unis d’Amérique dans le soutien au processus politique menée par les Nations unies », ajoute la même source. Contrairement à la version officielle en Algérie, le texte de la diplomatie algérienne a passé sous silence le rôle de l’Union africaine dans le règlement du conflit du Sahara.
Cette communication téléphonique intervient deux jours après la réunion du 4 janvier entre Sabri Boukadoum, nouvel ambassadeur algérien à Washington, et Johsua Harris, secrétaire d’Etat adjoint pour l’Afrique du Nord, considéré comme le « Monsieur Sahara » de l’administration Biden.