En kiosque

OTAN
L’objectif implicite, selon cet apparatchik, serait une préparation progressive à un futur conflit de grande ampleur. « En ce qui concerne la doctrine militaire…
La Russie est consciente du fait qu’après le démembrement de l’URSS, la situation dans le monde a changé. Elle ne l’empêche pas, y compris au sein de l’Onu. Mais elle ne veut pas que le nouveau monde soit construit uniquement dans l’intérêt d’un seul pays, les États-Unis. Telle est la perception du monde du Président russe qu’il a partagé dans une interview diffusée dimanche à télévision Rossiya 1.
L’Otan est plus effrayée par une victoire russe en Ukraine que par une Troisième Guerre mondiale, a déclaré l’ancien Président russe Dmitri Medvedev, rebondissant sur une polémique lancée par l’Alliance atlantique.
Le patron de l’Alliance atlantique a réaffirmé le soutien militaire de celle-ci à Kiev, pour un temps potentiellement long. Depuis le lancement de son opération en Ukraine, la Russie dénonce quant à elle l’implication de l’OTAN dans ce conflit.
L’Ukraine a reconnu lundi une situation « compliquée » au nord de Bakhmout, épicentre des combats dans l’est du pays, où l’armée russe tente d’encercler cette ville forteresse du Donbass. Du côté de l’OTAN, la sonnette d’alarme a retenti quant au rythme croissant des besoins de l’armée ukrainienne en termes de munitions alors que la production des usines des pays de l’Otan ne suit pas.
Pour le président ukrainien, la situation « se complique » sur le terrain face aux troupes russes. Le pays est à nouveau la cible d’intenses bombardements.
Joe Biden, président des États-Unis, a annoncé l’envoi de 31 chars Abrams en Ukraine. Une livraison qui ne serait pas selon lui une « menace offensive contre la Russie ». Cette annonce intervient dans un concert d’aides militaires d’une nouvelle nature accordées à Kiev. Au-delà des chars et autres blindés provenant des stocks allemands, français et britanniques, un intérêt croissant est aussi accordé aux systèmes de défense anti-aériens.
Ethem Sancak, vice-président du Parti patriote turc, estime que son pays quittera l’Otan dans cinq ou six mois. Il y sera poussé par les provocations de l’Alliance. La sortie de l’Otan n’est pas pour autant envisagée par le Parti présidentiel de la justice et du développement, selon son porte-parole.
Les relations entre Tallinn et Moscou se sont encore dégradées ces dernières heures. Après l’annonce lundi de l’expulsion de l’ambassadeur estonien de Russie, Tallinn a répondu par une mesure similaire, et Riga a également annoncé le renvoi de l’ambassadeur russe. Cette tension intervient à l’heure où l’armée russe fait des percées sur le terrain ukrainien et que les aides occidentales à Kiev se renforcent.
Recep Tayyip Erdogan, président turc, a affirmé que la Suède, candidate à l’Otan, ne pouvait plus compter sur le « soutien » de la Turquie après l’autorisation accordée à la tenue d’une manifestation antiturque le 21 janvier à Stockholm.
Actu. à la une
Notre Sélection
Subscribe to News
Get the latest sports news from NewsSite about world, sports and politics.
Maroc
Services
Subscribe to Updates
Get the latest creative news from FooBar about art, design and business.