Espace
Nature a publié mercredi une étude faisant part d’une nouvelle découverte du télescope James Webb. Scrutant l’univers lointain, la naissance et la mort des étoiles, le télescope spatial a mis au jour une nouvelle exoplanète, comme on appelle celles qui tournent autour d’une autre étoile que le Soleil. Une découverte qui en plus tranche avec les précédentes en la matière.
Des astronomes ont détecté et mesuré l’un des plus gros trous noirs jamais observé grâce à une nouvelle technique, qui devrait permettre d’en savoir plus sur les milliers de ces géants cosmiques que l’on s’attend à découvrir dans les prochaines années.
Il existe de faibles chances pour que l’astéroïde Oumuamua soit en réalité un engin extraterrestre nous espionnant, ont affirmé dans une étude un physicien de Harvard et un chercheur du département US de la Défense.
Au bout de 13 heures de vol, Mengtian s’est accroché, aux premières heures de mardi, à Tiangong, a rapporté Chine nouvelle, citant l’agence spatiale chinoise. Mengtian est le troisième et dernier élément majeur de la station spatiale baptisée « Palais céleste » en forme de T. Le défi chinois est en passe de se réaliser dans l’espace n’en déplaise aux Américains qui avaient opposé leur niet à l’intégration des Chinois au programme de la Station spatiale ISS.
Le comportement hostile de l’« Occident » envers la Chine et la Russie a des conséquences. Et cela se traduit par l’abandon de nombre de projets communs présentés naguère comme universel. Le cas de l’ISS est symptomatique de cet état des choses.
Lors d’une rencontre avec le président russe retransmise à la télévision le 26 juillet, Iouri Borissov, nouveau patron de l’agence spatiale russe Roscosmos a annoncé que la Russie avait pris la décision de «quitter» la Station spatiale internationale (ISS) «après 2024».
La Nasa a annoncé la reprise des vols conjoints avec la Russie vers l’ISS. Moscou a souligné l’importance de la participation de chaque pays pour le bon fonctionnement de la station, malgré les tensions autour du conflit en Ukraine. Tout cela s’opère à l’heure où l’agence russe Roscosmos change de tête.
L’agence spatiale américaine a annoncé le déblocage de trois contrats de cinq millions de dollars chacun, afin d’avancer sur la conception d’un système d’alimentation nucléaire qui pourrait être envoyé d’ici la fin de la décennie sur le sol lunaire.
Après avoir réussi en 2020 à rapatrier ses premiers échantillons collectés sur la Lune, la Chine pourrait ramener sur Terre, avant ses rivaux américains et européens, des échantillons prélevés sur Mars, avec un horizon fixé à l’été 2031.
La NASA s’apprête à mener des travaux d’investigation permettant d’en savoir plus sur certains phénomènes aérospatiaux non identifiés, connus sous l’acronyme «PAN», dont l’étude englobe aussi celle des objets volants non identifiés (OVNIS).
