Gazoduc

En ce début juin, la réalisation du gazoduc Maroc-Nigéria a franchi un nouveau cap avec le feu vert donné par le Conseil exécutif fédéral (FEC), autorité gouvernementale présidée par Muhammadu Buhari, chef de l’Etat, à la NNPC (Nigerian National Petroleum Corporation) pour conclure un accord avec la CEDEAO, a annoncé aux médias Timipre Sylva, ministre des Ressources pétrolières Pétrole.

Un nouvel acteur de poids s’intéresse au gazoduc Maroc-Nigéria. Et il s’agit des Russes qui expriment leur volonté quant à la réalisation de cet immense chantier. Timipre Sylva, ministre nigérian du Pétrole, l’a annoncé lundi 2 mai, rapporte l’agence Reuters.

Le Fonds de l’OPEP pour le développement international (OPEC Fund) et le Maroc ont annoncé, vendredi, un accord pour le financement des études d’avant-projet du gazoduc Maroc-Nigeria. L’OPEC Fund libèrera, à cette occasion, 14,3 millions de dollars.

Le gazoduc devant relier le Nigeria au Maroc n’est pas mort. La preuve, WorleyParsons, société d’ingénierie australienne, a annoncé, mardi, que les deux pays lui ont attribué le contrat pour les études techniques préliminaires du projet de gazoduc qui reliera les deux pays par voie maritime.

Pour la ministre allemande de la Défense (SPD), le projet de gazoduc Nord Stream 2 entre la Russie et l’Allemagne doit être tenu à l’écart du dossier ukrainien. Un avis que ne partagent pas ses collègues écologistes au gouvernement.

La décision des autorités algériennes de ne pas reconduire l’accord sur le gazoduc Maghreb-Europe (GME) n’aura dans l’immédiat qu’un impact insignifiant sur la performance du système électrique national ont indiqué l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM) et l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE).