Près de la moitié des émissions totales de CO2 des économies du G20 liées à l’énergie sont désormais soumises à un mécanisme de tarification du carbone, plusieurs pays ayant mis en place des taxes carbone ou des systèmes d’échange de quotas d’émission, ou ayant étendu leur application, au cours des dernières années. Pour l’OCDE, les pays doivent néanmoins redoubler d’efforts, en utilisant toute la gamme des outils politiques, pour réaliser leurs ambitions de long terme en matière climatique.

La croissance en Afrique subsaharienne devrait s’établir à 3,7 % en 2021, puis à 3,8 % en 2022, a indiqué le Fonds monétaire international (FMI), en soulignant que ces perspectives demeurent “extrêmement incertaines et risquent d’être révisées à la baisse”.

Le Fonds monétaire international (FMI), qui projette une croissance de 5,7% au Maroc en 2021, s’attend à ce que la reprise post-Covid « se renforce » dans le Royaume à la faveur de la relance de l’exportation, des bonnes performances du secteur agricole et des résultats des politiques mises en œuvre pour lutter contre la pandémie en accélérant la vaccination.

Le Maroc a pris part aux assemblées annuelles 2021 du Groupe de la banque mondiale (GBM) et du Fonds monétaire international (FMI). Une occasion pour renouveler l’invitation faite aux pays membres du GBM et du FMI à participer au rendez-vous de Marrakech prévu en 2022.

Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a confirmé lundi son soutien à sa directrice générale, Kristalina Georgieva, après avoir examiné de manière approfondie les accusations selon lesquelles elle a fait pression en faveur de la Chine lorsqu’elle était en poste à la Banque mondiale.

Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la hausse mardi ses prévisions de croissance pour le Maroc en 2021, s’attendant désormais à 5,7 % contre 4,5 % auparavant. Il s’agit de l’un des taux de croissance les plus robustes dans la région Moyen-Orient Afrique du nord alors que le monde essaye de se remettre progressivement des effets de la pandémie de Covid-19.

Après des années de tractation, la réforme majeure du système fiscal international a été finalisée. Cent trente-six pays se sont accordés pour imposer une taxation minimale à 15% sur les à compter de 2023. Un accord historique qui demeure cependant sujet à critique notamment du fait de la faiblesse du taux et son faible apport pour les pays les plus vulnérables.

Dans son rapport annuel publié en ce début de semaine à Washington, le Fonds monétaire international (FMI) indique qu’une “reprise est en cours” à des degrés divers, selon les pays. Toutefois, précise l’Institution, les répercussions économiques de la pandémie Covid-19 “pourraient se faire sentir pendant des années”, notamment pour les pays en développement.

Porté par la reprise de l’activité économique mondiale au premier semestre de 2021, le commerce des marchandises a dépassé son pic d’avant la pandémie, a indiqué l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) dans un nouveau rapport, relevant que ses économistes ont revu à la hausse leurs prévisions commerciales pour 2021 et 2022.