Dans un communiqué publié sur le site du Sénat, G. Larcher, qui estime qu’il s’agit là d’une « évolution diplomatique décisive, attendue de longue date », a souligné qu’ « il était temps de tenir compte des réalités et de sortir d’une ambigüité stérile », relevant que « cette évolution est le fruit d’une longue maturation ».
Le Président du Sénat français rappelle avoir plaidé, dès le mois de mars dernier, dans une lettre adressée au Président de la République, pour une initiative diplomatique en ce sens, qui lui paraissait « incontournable », notant que la décision de l’hôte de l’Elysée est « un pas supplémentaire décisif » vers la résolution d’un différend qui a trop duré, minant l’intégration du Maghreb et pénalisant sa prospérité.